QUAND JEAN MARIE LE PEN ÉTAIT PATRON D'UNE MAISON DE DISQUES

 

 

Un catalogue de qualité !..........

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Adolf Hitler ‎– Discours D'un Dictateur

Label:

Serp Disques ‎– HF 37

Format:

Vinyl, LP, Gatefold

Pays:

France Label: Serp Disques ‎– HF 37

Date:

 Genre:Non-Music, Brass & Military

Style:Military, Monolog, Political, SpeechAdolf Hitler ‎– Discours D'un Dictateur

Format:Vinyl, LP, Gatefold Pays: France

Date:

Genre: Non-Music, Brass & Military

Style: Military, Monolog, Political, Speech

 

Tracklisting

1

Appel Radiodiffusé1erFévrier1933

2

Sportpalast De Berlin 10 Février 1933

3

Reichstag 21 Mai 1935

4

Champ De Mai, Berlin 28 Septembre 1937

5

Nuremberg 12 Septembre 1938

6

Reichstag 28 Avril 1939

7

Reichstag 1er Septembre 1939

8

Reichstag 1er Juillet 1940

9

Appel Radiodiffusé 10 Septembre 1943

10

Appel Radiodiffusé 20 Juillet 1944

11

Appel Radiodiffusé Depuis La Chancellerie 30 Janvier 1945

 

LES WAFFENS SS

 

 Various ‎– Les Waffen SS

Label:Serp Disques ‎– HF43 Format: Vinyl, LP, Gatefold Pays:France

Date: Genre: Non-Music, Brass & MilitaryStyle: Military, Monolog, Political, Marches

 

Tracklisting

A1

Deutschland Erwache (1)

A2

March Der Marine Brigade Ehrardt (1)

A3

Wenn Die SA Und Die SS Aufmarschiert

A4

Bad Enweilermarsch

A5

Ceremonies SS, Munich 9 Novembre 1935

A6

Reunion SS, Francfort, 11 Juin 1933

A7

Deutsch Ist Die Saar

A8

Wir Zogen Uber's Weite Meer

B1

SS Paradenmarsch

B2

Lisa Lisa

B3

Ostmarklied

B4

Argonner Wald Um Mitternacht

B5

Sieg Heil Das Deutsche Vaterland

B6

Rot Scheint Die Sonne

B7

Hitler, 26 Decembre 1940

B8

Deutschlandlied

 

 – Hitlerjugend 1926-1945

Label:

Serp Disques ‎– HF58

Format:

3 × Vinyl, LP, Gatefold

Pays:

France

Date: Genre:Non-Music, Brass & Military

Style: Various, Monolog, Political, Marches

 

 

Philippe Pétain* ‎– Maréchal De France

Label:Serp Disques ‎– HF 05Series:Hommes Et Faits Du XXe Siècle –Format:Vinyl, LP, Album Pays: France Date: Genre: Non-Music Style Political, Speech

 

Tracklisting

 

A1

Discours De M. Paul Reynaud

A2

Messages Aux Français

A3

Message De Noël

A4

Message Vichy 1944

B1

Déclaration Du Maréchal À Son Procès

B2

Plaidoirie De Jacques Isorni

B3

Souffrance Et Mort Du Maréchal

 

Un autre de poèmes déclamés par le collaborationniste Robert Brasillach et considéré comme le plus "émouvant" par le père de la dirigeante du FN.

 

On vous épargne les doubles albums autour de la marine nazie, des chars nazis, les discours de Mussolini, des chants de guerre des Chouans de Vendée, un album de chansons de l'Action française

 

 

 

Robert Brasillach - Pierre Fresnay

Label: Serp Disques ‎– HF 06 Series: Hommes Et Faits Du XXe Siècle – Format:Vinyl, LP

Pays:France Date: Genre: Non-Music Style: Poetry

 

 

catalogue Discogs

 

B.D.S: La Cour de Cassation a définitivement tranché en faveur de l’illégalité des actions de B.D.S selon les propres dires de…B.D.S !

 

La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël se réjouit des dernières décisions de la Cour de Cassation en date du 20 octobre 2015 qui, selon les propres dires de l’organisation B.D.S, tranchent définitivement le litige sur la légalité ou non du boycott des produits israéliens et des activités cuturelles et académiques israéliennes.

La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël se réjouit tout d’abord, bien entendu, du fond de cette décision mais elle se réjouit également de la validation de l’action du B.N.V.C.A ( membre de la C.J.F.A.I) qui, depuis des années, n’a pas faibli, ni cédé aux pressions, en maintenant la pression du droit sur les négationnistes, antisémites et antisionistes en tous genres, en poursuivant tout acte, sans exception, qui serait antisémite, raciste ou discriminatoire à l’encontre d’Israël.

Ces arrêts de la Cour de Cassation sont les premiers qui répondent à l’interrogation sur la légalité de B.D.S en France. C’est fait et désormais c’est clair: la campagne B.D.S est illégale en France et contraire aux valeurs de notre République !

Pour analyser cette décision et lui donner toute sa force, nous nous appuierons sur l’analyse faite par B.D.S, elle-même, le lendemain de l’arrêt du 27 novembre 2013 de la Cour d’Appel de Colmar qui est à l’origine de ces deux arrêts.

En effet, par la voix de Ghislain Poissonnier, magistrat à la solde de B.D.S., l’A.U.R.D.I.P ( Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine) a décidé de s’en remettre à la Cour de Cassation pour trancher ce litige et statuer sur la légalité de l’appel au boycott.

Ainsi, Ghislain Poissonnier rappelle à juste titre que : « …Sur la question de l’appel au boycott des produits israéliens, les deux arrêts de la CA de Colmar présentent au moins un mérite ; ils sont assez solidement motivés et ne « fuient » pas les questions posées et les arguments avancés par les prévenus ; ils tranchent le problème, sans chercher à tourner autour du pot ou à l’évacuer, en modifiant quelque peu les faits, la qualification juridique ou la cohérence entre les faits et la qualification, comme cela a pu être le cas dans le passé devant d’autres juridictions entrées en voie de condamnation à Bordeaux ou à Alençon… Ils prennent clairement position sur la question de l’existence possible d’une infraction de provocation à la discrimination nationale s’agissant de militants associatifs appelant publiquement à ne pas consommer les produits originaires d’un État au regard du libellé du texte de l’article 24 alinéa 8 de la loi de 1881 sur la presse… Nous entrons ainsi au « cœur » du sujet. Un pourvoi en cassation s’impose. C’est un peu « l’heure de vérité ». La Cour de cassation, en cas de pourvoi, se trouvera pour la première fois, en situation de rendre un arrêt de principe sur la question de la légalité de l’appel citoyen au boycott des produits originaires d’un État.»

La messe est dite !

B.D.S s’en remettait à l’arbitrage de la Cour de Cassation qui a tranché en faveur de l’illégalité !

 

La Cour de Cassation a dit le droit, le Ministère de l’Intérieur doit le faire respecter.

Le Ministère de l’Intérieur a pour fonction de faire respecter le droit par tous les moyens dont il dispose. Nous demandons donc au Ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, de faire respecter le droit et d’empêcher que tout acte délictuel de boycott puisse se produire sur l’ensemble du territoire national. Ce qui, d’ailleurs, serait en adéquation avec toutes des déclarations de l’exécutif, du Premier Ministre et du Président de la République.

Nous demandons donc qu’une directive du Ministre de l’Intérieur soit transmise aux Préfets aux fins d’agir avec diligence et de faire respecter l’odre républicain en usant, si besoin est, aux forces de police pour mettre fin aux troubles à l’ordre public que sont les appels au boycott, et de procéder à la dissolution de toute personne morale qui aurait pour objet social l’appel illicite au boycott.

Dans son commentaire en date du 29 octobre 2015, Monsieur Guislain Poissonnier a écrit :«…Avec cet arrêt du 20 octobre 2015, notre pays devient le seul Etat au monde – avec Israël – à pénaliser les appels citoyens à ne pas acheter de produits israéliens… ».

Nous nous en félicitons et espérons que l’exemple soit suivi dans l’ensemble de l’Union Européenne !

Richard C. ABITBOL

 

Président 

Judéophobie en France : que font les antiracistes ?

Par Ivan Rioufol

 

Le conflit israélo-palestinien a bon dos.

À entendre François Hollande et Manuel Valls, les tensions communautaires qui fragilisent la France seraient dues à l'«importation» de cette guerre. L'explication relativiserait les «mort aux Juifs!» entendus le 13 juillet dans les rues de Paris à l'occasion d'une manifestation propalestinienne, ainsi que les tentatives d'intrusion dans deux synagogues à l'issue du défilé, majoritairement islamiste. De semblables slogans antisémites, proférés en janvier lors du «jour de colère» par des groupuscules liés à l'extrême droite et à la mouvance de Dieudonné et d'Alain Soral, avaient été unanimement dénoncés. Cette fois, rares sont ceux qui se sont aventurés à disqualifier les participants. La gauche «humaniste» et ses clones ont appliqué un mutisme relayé par les médias. Plus l'évidence du choc des cultures s'impose, plus les apôtres de l'universalisme se taisent, édulcorent, laissent faire.

Il n'est de jour sans que l'actualité n'illustreles assauts contrela cohésion nationale.

Jusqu'où osera aller la désinformation officielle? Elle dissimule de plus en plus laborieusement les problèmes de cohabitation posés par l'islam radical, soutenu passivement par une partie de la communauté musulmane. Rappelons que celle-ci, qui sait se mobiliser pour le Hamas, n'a pas jugé utile de s'indigner de la sorte après la tuerie du «Français» Mehdi Nemmouche au Musée juif de Bruxelles, ou celle de Mohamed Merah. Il n'est pas de jour sans que l'actualité n'illustre les assauts contre la cohésion nationale. Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans, vient de faire suspendre l'interdiction municipale du hijab à Wissous Plage (Essonne). Ces affrontements identitaires, quotidiens à l'école, n'ont rien à voir avec le Proche-Orient. Mais ils opposent, ici aussi, une démocratie à une idéologie conquérante qui exige sa place. Le recours habituel aux drapeaux d'origine exprime le refus de vivre ensemble.

Le scandale est d'observer, une fois encore, l'indifférence de la plupart des antiracistes et droits-de-l'hommistes, confrontés à la judéophobie sans retenue de certains de leurs protégés. Leur incapacité à tirer l'alarme les rend complices de l'inimaginable régression qu'ils prétendaient prévenir. Soutenir, comme le font le président et son premier ministre, que le conflit israélo-palestinien serait à l'origine de l'hostilité des cités est insuffisant. La commodité revient à rendre les Français juifs responsables de la haine qu'ils suscitent chez les «antisionistes». Or cette analyse est injuste. Elle assigne chacun à ses origines sans tenir compte de l'intégration des premiers et du séparatisme qui gagne les plus «ultras» des seconds. Elle dispense la gauche de s'attarder sur les effets de l'héritage coranique d'une partie de l'électorat musulman, qu'elle cajole électoralement.

Le scandale est d'observer l'indifférence de la plupart des antiracistes, confrontés à la judéophobie sans retenue de leurs protégés.

Ceux qui comptabilisent l'islamophobie ne disent rien du martyre des chrétiens d'Orient, ni de la violence d'une foule parisienne qui crie «Israël assassin!», en ciblant des lieux de culte. Cette observation devrait alerter sur le procédé de victimisation: il obscurcit les desseins de l'islam politique, qui n'admet pas la critique. Or la même idéologie qui exècre les «judéo-croisés» est à l'œuvre à Gaza et dans des ghettos français. À Paris, les policiers décrivent la Goutte d'Or comme un quartier au bord de l'émeute. Les dénégationnistes, qui brouillent la lecture des faits en faisant référence au conflit proche-oriental, ne veulent pas regarder la fracture franco-française née d'une immigration qui, pour une partie difficilement quantifiable, ne s'intègre plus et entend le revendiquer. À ceux-là, faudrait-il donner raison, de guerre lasse?

Capitulation en cours

Pour dire les choses plus clairement: la France pourrait être confrontée, à son tour, aux épreuves de force qu'impose le Hamas à Israël. Le salafisme qui s'étend dans des banlieues délaissées rend envisageables de semblables intifadas. Des répétitions y ont déjà eu lieu. Lire la charte du Hamas fait mesurer le caractère totalitaire, obsessionnellement antijuif et antichrétien, de cette filiale des Frères musulmans, soutenue par le Qatar. Il y est écrit qu'il faut détruire Israël, tuer les Juifs, faire le djihad contre qui n'est pas musulman, etc. Résister à ce nazislamisme, qui a des milliers de soutiens en France, devrait être une évidence pour une démocratie. Or, par un retournement moral ahurissant, gauche et extrême gauche multiplient les signes de compromission. Leur capitulation est en cours. Les loups sont entrés dans Paris…

Quand François Hollande, le 14 Juillet, renvoie dos à dos Israël et le Hamas, en assurant que la France n'est «ni pro-israélienne ni pro-palestinienne», il entérine une équivalence entre une démocratie et un mouvement sectaire prêt à sacrifier son peuple dans son obsession à éradiquer son voisin. Soucieux de s'attirer les faveurs de son nouvel électorat, le président en vient à oublier que le Hamas a déclenché les hostilités, refusé un cessez-le-feu et placé l'État hébreu en situation de légitime défense. Les nombreux morts civils causés par les bombardements ciblés d'Israël, en dépit des alertes lancées préalablement aux populations, sont tragiques. Mais c'est les yeux bandés que le Hamas envoie ses roquettes, généralement interceptées, sur les villes ennemies. Israël devrait-il se lier les mains et se soumettre? L'esprit munichois le demande. Pour se ressaisir, la France a beaucoup à apprendre d'Israël.

La France pourrait être confrontée, à son tour, aux épreuves de force qu'impose le Hamas à Israël.

Autocritique des intellectuels?

 

La résistance que mène Israël face au Hamas est celle d'un État-nation occidental et d'une démocratie ouverte (20 % de musulmans y vivent) qui n'entendent pas disparaître. Or c'est en termes identiques que se pose désormais le destin de la France, théâtre d'un choc des civilisations, mais désarmée pour y répondre. Ceux des Français juifs qui, Bernard-Henri Lévy en tête, dénoncent le conservatisme identitaire des «réactionnaires», sont arrivés au terme de leur contradiction. La France est aussi légitime à vouloir rappeler ses racines chrétiennes et ses traditions qu'Israël l'est à défendre son identité juive avec l'appui de ces intellectuels français. Pour beaucoup d'immigrationnistes, comme Julien Dray, le temps de l'autocritique est venu. Leur obsession à dénoncer l'extrême droite les a volontairement aveuglés sur la montée de la judéophobie islamique, qui a pourtant déjà fait couler le sang. Ceux-là sont la cause du malheur des Français juifs, dont certains préfèrent quitter leur pays.

Riposte proportionnée

Par Serge Salfati

 

Le concept de riposte proportionnée est unique dans l’histoire et ne semble devoir s’appliquer qu’à l’état d’Israël.

En deux mots il s’agirait quand celui ci est attaqué, de le brider dans sa capacité de riposte et donc de dissuasion en retenant une partie de ses moyens militaires.

L’ineptie en découlant consiste à faire de l’agressé un agresseur si, mais quelle drôle d’idée, celui ci venait à faire en sorte d’anéantir son ennemi afin de procurer la sécurité à ses citoyens et à garantir l’intégrité de son territoire.

On peut se demander à qui la communauté internationale pourrait bien avoir l’incongruité de demander l’application de ce même délirant principe si ce n’est a Israël.

Pourtant le champs d’application d’une si brillante idée est sans fin, aujourd’hui comme hier, et pourrait se généraliser demain.

Quelques exemples peuvent nous édifier, quand l’Allemagne nazie envahit la Pologne a t’on entendu la SDN demander à celle ci de retenir ses coups ?, plus près de nous, à quelle moment avons nous vu évoquer « la riposte proportionnée » lors de la Guerre des Malouines, ou la Grande Bretagne n’hésita pas à massacrer la fine fleur de la jeunesse argentine pour préserver une bribe infime de son empire colonial ?, encore plus proche, François Hollande a t’il fait une seule fois mention de cette fameuse « riposte proportionnée » quand se jetant au secours de son vassal africain, le Mali, il tira comme au ball trap la bande de brigands islamiques qui avait imaginé en prendre le contrôle ?

Non, à aucun moment cette merveilleuse notion n’est apparue dans la dialectique de guerre ayant cours au moment des faits évoqués.

En revanche ce concept est au centre de toutes les interventions Occidentales ou Onusiennes, au nom d’une humanité unilatérale, qui permet de condamner l’élimination ciblée de terroristes assassins mais aussi de passer dans un assourdissant silence le kidnapping crapuleux de trois adolescent juifs…

Une partie du grotesque de l’histoire nous est fourni par l’ensemble du monde musulman et de ses obligés, qui sont comme le sait tout un chacun si attaché aux valeurs humaines, qui criant comme un seul homme au génocide, nous laisse entrevoir a chaque conflit fratricide à grand coup d’armes chimiques l’idée qu’ils se font de la proportionnalité de leur riposte.


Alors qu’est ce qu’en vérité cette curieuse notion dont Israël est le seul état à avoir l’obligation de pratiquer ?, c’est avant tout une renonciation unilatérale au droit à la légitime défense, puisque chaque réaction sera forcément qualifié de disproportionnée, notion volontairement subjective.

C’est aussi une atteinte inadmissible pour toute autre nation à sa souveraineté, car en bridant par des pressions illégitimes une réaction militaire on entend se substituer à la volonté souveraine du peuple israélien s’exprimant par la voix de ses dirigeants.

C’est surtout l’expression larvée de la non reconnaissance d’Israël et l’affirmation de son caractère « temporaire » puisqu’une nation à qui on enlève tout droit a se défendre est condamnée à disparaître selon l’expérience de la Tchécoslovaquie après les accords de Munich en 1938.Reste à définir ce qu’est une juste proportionnalité en matière de riposte militaire, aujourd’hui des centaines de missiles tombent chaque année sur Israël dans l’indifférence générale de la communauté internationale qui ne parait réagir que quand Israël se décide à répliquer timidement.

Reste à définir ce qu’est une juste proportionnalité en matière de riposte militaire, aujourd’hui des centaines de missiles tombent chaque année sur Israël dans l’indifférence générale de la communauté internationale qui ne parait réagir que quand Israël se décide à répliquer timidement.

Dans un précédent article j’évoquais l’impérieuse nécessité de faire subir à nos adversaires le sort qu’ils réservent à nos otages, tant dans le traitement que dans le volume, ainsi si il doit y avoir libération d’un de nos otages l’échange ne pourra porter que sur un terroriste légalement condamné et cela à titre tout à fait exceptionnel.

Si les informations nous parvenant de ces otages sur leur état de santé par exemple sont inexistante, si les visites d’un organisme international, si les familles ou les lettres ne peuvent parvenir jusqu’à eux, alors Israël doit instaurer une réciprocité parfaite concernant les détenus qu’il détient, et cela sans état d’âme.

Concernant les actes de guerre il doit en être de même, quand dix missiles sont tirés sur le territoire israélien alors dix missilesdoiventfrapperles zones indûment administrées par l’une ou l’autre des pseudos autorités arabes dites « palestiniennes ».

Pas un de plus pas un de moins, et cela sans se soucier de savoir qui, comment et pourquoi ces engins de mort ont été tirés.

Et puisque Israël est condamnée d’avance par une communauté internationale lâche et aveugle le temps n’est plus aux problèmes de conscience déplacés.

Par Serge Salfati – JSSNews 

 

 

Un immondice anti-juif dans un journal français

Je cite un article paru dans un journal français : « Un policier israélien a été tué et deux membres de sa famille blessés lundi 14 avril par des tirs lors d’une attaque sur une route des environs d’Hébron, près de la colonie d’Adora, dans le sud de la Cisjordanie ».

Plus loin : « Le Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, et son allié radical du Jihad islamique ont salué une « opération héroïque », menée en représailles après les heurts survenus dimanche entre policiers et Palestiniens sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est ».

Enfin : « Hébron et ses environs, où vivent 200 000 Palestiniens et quelque 700 colons juifs, sont fréquemment le théâtre d’événements violents entre Palestiniens, d’une part, et colons ou soldats israéliens, d’autre part ».

C’est, en général, pour ne plus lire ce genre d’immondices que je ne lis Le Monde qu’à petites doses, et en me bouchant le nez.

Si vous voyez dans ce genre d’immondices une légitimation de meurtre, c’est que vous voyez clair dans les immondices, et qu’ils vous donnent envie de vomir, comme ils me donnent envie de vomir.

Que l’homme assassiné ait été policier ne justifie rien : c’était un homme. Il n’a pas été tué, mais assassiné : un assassin a visé pour le tuer volontairement, et si des membres de la famille de l’homme assassiné ont été juste blessés, c’est parce que l’assassin n’a pas pu assassiner autant qu’il l’aurait souhaité. Utiliser le mot « colonie » en ce contexte, c’est justifier l’assassinat, en suggérant que l’homme assassiné et sa famille avait des liens avec une « colonie ». C’est aussi, de la part de l’être excrémentiel qui a rédigé l’immondice, se faire partisan de l’épuration ethnique anti-juive : pour un humaniste non partisan de l’épuration ethnique anti-juive, un village juif en Judée ou en Samarie est un village juif en Judée ou en Samarie.

Citer des organisations terroristes à buts génocidaires comme s’il s’agissait de partis politiques normaux revient à traiter des organisations terroristes à buts génocidaires comme s’il s’agissait effectivement de partis politiques normaux, ce qui équivaut à les cautionner et à les légitimer. Reprendre, sans commentaires, l’expression « opération héroïque » donne envie de cracher au visage de l’être excrémentiel qui a rédigé l’immondice. Noter qu’il s’agit de représailles équivaut à en rajouter dans la justification de l’assassinat. Je passe, sans commentaires, sur « esplanade des mosquées » et « Jérusalem Est » : l’être excrémentiel emploie un vocabulaire indiquant qu’il s’incline, sans doute, souvent en direction de La Mecque.

Le passage suivant « contextualise » : il y a des « Palestiniens », et il y a sept cent colons qui devraient être ailleurs, ou accepter de se faire « tuer » vraisemblablement. Surviennent des « événements violents » : ils font partie, j’en suis sûr, du « cycle de la violence », sans cause ni effets, où il n’y a ni criminel ni victime, mais où les victimes sont, aux yeux de qui ose écrire cela, les vrais bourreaux.

Des gens lisent ce genre d’immondices tous les jours : et après on s’étonnera qu’il y ait une montée de l’antisémitisme et de la haine anti-israélienne en France.

En Europe aujourd’hui, je sais, il est de bon ton de préférer les Juifs morts aux Juifs vivants. Il est de bon ton d’insulter les Juifs morts s’ils sont Israéliens. Il est de bon ton de déverser des immondices sur Israël.

Comme l’écrivait Zvi Rex, les Européens ne pardonneront jamais Auschwitz aux Juifs.

Moi qui suis humaniste et que l’antisémitisme dégoûte et révulse, ce qui est un ensemble de défauts rédhibitoires en France et en Europe aujourd’hui, moi qui ai décidé de faire mon travail intellectuel honnêtement (ce qui, au train où vont les choses, sera bientôt interdit en France et en Europe), je dis qu’un homme, Juif, a été assassiné parce qu’il était juif. Et en y pensant, des larmes de rage me viennent aux yeux.

Je dis que sa famille a perdu un homme irremplaçable.

Je dis qu’en ayant lu les mots de son épouse, cités par mon ami Meyer Habib, je n’ai pu me retenir de laisser des larmes couler sur mes joues. « Au lieu de vieillir ensemble, de profiter de nos enfants et du changement des saisons, en une balle j’ai perdu l’Amour de ma vie. Nos enfants ne cessent de pleurer et n’arrivent pas y croire. Qui leur donnera désormais autant d’amour ? ».

Je dis que je regrette qu’Israël ne pratique pas, si ce n’est la peine de mort, tout au moins la perpétuité réelle pour les assassins tels que l’assassin de cet homme . Et que l’idée que des assassins tels que l’assassin de cet homme puissent être relâchés dans le cadre d’on ne sait quel échange inutile m’indigne.

Je dis que toute caution apportée à des organisations « palestiniennes » est une assistance à l’assassinat effectif ou potentiel de Juifs et s’approche du crime contre l’humanité.

Je dis que le fait qu’une part de l’argent de mes impôts serve à financer la propagande haineuse et anti-juive de l’Autorité palestinienne me conduit à avoir honte d’être citoyen d’un pays qui finance ce genre de choses.

Je dis que j’attends avec impatience le moment où viendra la vraie paix en Judée-Samarie, qui impliquera, je pense, ce que suggèrent des analystes de plus en plus nombreux : une solution israélienne au conflit israélo-arabe. Un Etat d’Israël souverain sur la Judée Samarie, et la mise hors d’état de nuire de tous les assassins effectifs et potentiels présents en Judée Samarie.

Je dis que je rends hommage à l’homme assassiné. Il s’appelait Baruch Mizrahi. Il avait une épouse et cinq enfants.

L’être excrémentiel qui a rédigé l’immondice ne pense, visiblement pas à l’homme assassiné, à son épouse, à ses enfants.

Qu’il soit assuré de mon plus absolu mépris.

 

 © Guy Millière pour Dreuz.info.

Report au dimanche 30 juin de la Manifestation contre l’exposition qui fait l’apologie du terrorisme au Musée du Jeu de Paume

 juin 12th, 2013  Europe-Israel.org


ATTENTION Modification de la date de la manifestation devant le Musée du Jeu de Paume !

En raison de menaces sérieuses circulant dans les milieux islamistes, nous avons décidé de reporter au dimanche 30 juin la manifestation contre l’exposition qui fait l’apologie du terrorisme au Musée du Jeu de Paume. Ce report nous permettra de mieux sécuriser la manifestation et d’avoir un service d’ordre optimal.

Rappelons que le Musée du Jeu de Paume consacre une exposition photo à la mémoire des terroristes palestiniens !qu’ils osent appeler des « martyrs », reprenant ainsi la terminologie islamiste, alors qu’il ne s’agit que d’assassins ayant tué des civils, femmes, enfants israéliens au nom du fameux Jihad. Imagine-t-on une exposition glorifiant les « martyrs » islamistes ayant perpétré les attentats du 11 septembre ?

Madame le Ministre de la Culture n’a pas jugé bon faire interdire cette exposition odieuse. Dès lors il nous appartient à nous citoyen français de prendre nos responsabilités et d’agir contre cette apologie du terrorisme issue de la barbarie islamiste !

Il s’agit là d’une véritable apologie du terrorisme où des ordures de la pire espèce sont qualifiés de « Martyr mort en opération » !

La direction du Musée dans une inconscience absolue glorifie ainsi le terrorisme islamiste tuant des civils juifs en Israël. Ainsi il y a donc d’un côté les « bons terroristes », ceux qu’on peut glorifier dans des expositions dès lors où ils tuent des civils juifs en Israël, et de l’autre « les mauvais terroristes » ceux qui font des attentats en France… pourtant ce sont les mêmes qui tuent au nom d’Allah pour les mêmes raisons !

Faut-il rappeler aux dirigeants de ce musée que ces terroristes ne défendent pas la cause palestinienne mais celle de l’Islam radical ? Comment combattre des islamistes comme Mohamed Merah quand un grand musée consacre une exposition à la mémoire de terroristes ayant assassiné des civils ?

Dejà en 2012, le nombre d’agression antisémites à doublé. Les agressions sont de plus en plus violentes jusqu’aux attentats de Toulouse et Sarcelles. Combien faudra-t-il d’enfants juifs avant que les pouvoirs publics réagissent, avant que l’intelligentsia de gauche qui se fait l’écho de la propagande palestinienne comprenne qu’elle justifie ainsi les gestes d’extrémistes islamistes ?

Nous avons lancé à cet effet une pétition.

Dimanche 30 juin 2013, nous organisons une grande manifestation devant l’entrée du Musée pour protester et faire fermer cette exposition indigne.

Rendez vous tous devant le Musée du Jeu de Paume à 15 h, 1 Place de la Concorde, 75008 Paris.

Si vous souhaitez manifester votre indignation vous pouvez téléphonez directement au Musée au 01 47 03 12 50.

Pourquoi je vous engage à lire et faire lire «L'islam radical est une arme de destruction massive», Guy Millière

 

Que mes livres soient boycottés, et que nul grand média n'en parle ou ne les cite est un état de fait auquel j'ai dû m'habituer.

Je trouve cela intolérable et scandaleux. J'ai été conduit plusieurs fois, dans ce contexte à envisager d'arrêter d'écrire, puis j'ai repris la plume. J'ai renoncé, pour l'heure, à la rédaction d'essais de grande ampleur, car consacrer six mois de mon existence à un projet sans avoir la possibilité que ce projet soit pris en compte largement, une fois concrétisé, a fini par me sembler vain. Je rédige des ouvrages plus brefs. C'est tout.

Je sais que nous vivons une époque où la connaissance est vaine et où le prêt-à-penser règne en maître. Et j'assume. Il le faut. Ai-je un autre choix ?

Je sais qu'écrivant sur les Etats-Unis, je devrais dire du bien d'Obama, ignorer les relations de cause à effet entre des décisions politiques et les conséquences désastreuses qu'elles peuvent avoir, et que je serais davantage écouté si je parlais du dentifrice utilisé par le Président des Etats-Unis pour avoir les dents blanches qu'en traitant de ses relations avec Saul Alinsky, un type qui, dès lors qu'il n'a pas vécu assez longtemps pour avoir l'opportunité d'insulter George Walker Bush et qu'il n'a pas laissé de sperme sur la robe de Monica ou dans les cheveux de Marcela, ne peut intéresser personne.

Je sais qu'en écrivant sur Israël, je devrais chanter sur trois octaves les louanges du « processus de paix », faire glisser les morts et les mutilés juifs victimes du terrorisme arabe sous le tapis, et vanter les qualités humaines du sympathique Mahmoud Abbas, pour devenir audible.

Je sais qu'expliquer et comprendre l'économie à l'ère post-capitaliste et à une époque où la plupart de ceux qui traitent du sujet ne savent pas que Karl Marx est mort en 1883, est un handicap, et que parler du droit naturel à une époque où certains pensent que John Locke est un acteur de série B est rédhibitoire.

Je sais que des gens procédant comme celui à qui j'ai eu affaire ces derniers jours sont innombrables et présents partout. Je sais qu'ils sont prêts à mordre, insulter, diffamer, salir.

J'assume, disais-je. Que puis-je faire d'autre ?

Mais il n'en reste pas moins que je ne puis ignorer que le boycott qui me touche en touche d'autres aussi : combien d'auteurs n'ont pas mon opiniâtreté et ont totalement renoncé ? Combien de livres majeurs ont été condamnés à mort ou n'ont même jamais vu le jour en conséquence ?

Et cela me semble plus intolérable et scandaleux encore que la situation qui me touche.

J'écris encore, d'autres ont totalement renoncé : et quelques-uns d'entre eux font partie, j'en atteste, car je les connais, des plus brillants esprits de ce temps.

La désertification intellectuelle qui pèse sur la France aujourd'hui est un désastre civilisationnel majeur dont nul ne mesure encore les conséquences.

Je ne puis ignorer que le boycott qui touche tout ce qui n'est pas politiquement, économiquement, juridiquement, historiquement correct, implique aussi que des pans entiers de la pensée qui fait avancer le reste du monde développé, ne traversent jamais les frontières de la France.

Et cela me semble non pas intolérable et scandaleux, mais effrayant, et d'une dimension quasiment soviétique.

Je ne puis ignorer, surtout, que ce boycott ne tue pas seulement des auteurs et la pensée, mais aussi des éditeurs.

Les derniers interstices de pluralisme existent encore parce qu'il existe des éditeurs indépendants, courageux, prêts à prendre des risques.

Ces éditeurs disparaissent les uns après les autres.

J'ai, si je puis dire, perdu trois éditeurs au cours des dix dernières années. Ils ont tous les trois déposé leur bilan.

J'entends tout faire pour éviter que cela arrive à David Reinharc.

J'ai publié chez lui, et pour que sa maison d'édition vive, un petit livre intitulé L'islam radical est une arme de destruction massive*.

Ce livre est le seul, à ce jour, en langue française, à expliquer sans langue de bois que le « printemps arabe » est en réalité un hiver islamique et à exposer de manière détaillée ce qui s'est passé en Tunisie, en Egypte, en Libye, ainsi que ce qui se passe en Syrie et au Mali.

Il est un instrument de combat contre la désinformation et un outil au service de la lucidité.

Il est aussi un outil au service du pluralisme. Je l'ai déjà dit : j'ai renoncé à tous mes droits d'auteur sur ce livre. Pour que vivent les éditions David Reinharc.

J'ai décidé, en outre, de demander à David de reverser un fragment de ce qu'auraient dû être mes droits d'auteurs au Bureau National de Vigilance contre l'Antisémitisme, car Sammy Ghozlan fait un travail remarquable et courageux, avec trop peu de moyens.

Cela fait une raison supplémentaire d'acheter et de faire acheter le livre et de le diffuser largement.

 

© Guy Millière pour www.Dreuz.info

Quant l’i Monde s'unit à l’ignoble.

THE GATEKEEPERS

S.Adato


Il fallait que le Monde et le nouvel observateur s’associent pour coopérer avec Arté 7 afin, de tenter, une fois de plus de détruire l’image d’Israël dans le monde. 

Et comme à l’habitude les médias se sont saisis de cette occasion pour faire leur sale besogne, et encenser  le réalisateur, qui évidemment à monter son film qu’avec la participation de gauchistes connus.

Ce pseudo documentaire date de 2012 et seuls les journaux de gauche et d’extrême gauche ont sorti quelques lignes dans l'indifférence de la quasi totalité du public.

Israël ayant été absent des écrans, depuis quelques jours, il fallait toutes affaires cessantes que l'i Monde et l’Ignoble coopèrent à remettre Israël au banc de la société.

Il se trouve que loin de fausser la vision de la démocratie israélienne, celle-ci en sort renforcée.

Dans quel pays, au monde, en guerre, en buttes aux attaques journalières, depuis 60 ans, des terroristes criminels palestiniens l’on laisserait s’exprimer six traîtres à la nation?

J’ose espérer que parmi les téléspectateurs se sont trouvés des gens qui ont compris le stratagème, tellement il était gros de cette haine   que l’Europe a développé et qui a mené à la Choa, aujourd’hui son discours antisémite n’est plus à l’échelle de l’individu mais à l’échelle d’une nation.

Ce film qui se veut documentaire ne raconte pas l’histoire, il associe la légitime défense aux crimes palestiniens auxquels il ne faudrait pas répondre.

Ce film ne fait pas réfléchir, il tente en jouant sur l’émotion de détourner le spectateur de la vérité, ce procédé est ignoble. Un exemple, il met l’accent sur le refus d’Israël de conclure une paix, mais l’on oublie que dès le lendemain des discussions de Camp David, arafat avait prémédité cette violence, alors que confidentiellement Barak avait proposé plus de 90% des territoires.

La veuve de Yasser Arafat a admis que le leader palestinien a prémédité la seconde intifada, dans une interview à la télévision de Doubaï  « Immédiatement après l’échec de Camp David, je l’ai rencontré à Paris à son retour de Camp David , qu’il a fait échouer, et il m’a dit : « vous devez rester à Paris. »

Je lui ai demandé pourquoi, et il m’a dit : « parce que je vais commencer une intifada. Ils veulent que je trahisse la cause palestinienne. Ils veulent me faire renoncer à nos principes, et je ne le ferai pas. »

Il est temps qu’Israël se reprenne, Il faut cesser de penser qu’il est de notre devoir de donner des leçons de démocratie au monde. 

L’on peut lorsque l’on est un gauchiste psychotique se tirer une balle dans le pied, mais il ne peut y avoir d’indulgence en faveur de ces individus, qui furent des responsables. Israël est en guerre et donc ces tristes sires doivent être mis en examen et jugés sévèrement par une cour martiale. 

Mali – Gaza, même combat

Voilà c’est exactement cela !

Par Daniel Horowitz

 

Un corps d’armée français  a récemment débarqué sur le continent africain pour une tentative de colonisation du Mali. Alors que de courageux activistes de l’Islam radical sont occupé à y instaurer la Sharia, les infidèles français prétendent dicter leur loi à des milliers de kilomètres de chez eux, et lancer une  soldatesque à l’assaut de l’Afrique pour y imposer la pornographie et l’athéisme.

Cette agression au moyen d’armement lourd et d’une force aérienne dévastatrice  semble déjà avoir fait de nombreuses victimes parmi résistants islamistes et civils.  Des observateurs d’Amnésie International accourus d’Israël suivent les combats de près à la télévision et confirment que des exactions non confirmées ont lieu dans un rayon de mille kilomètres autour d’un point non identifié. Des photos  truquées  prisent par des menteurs au dessus de tout soupçon prouvent le carnage de manière irréfutable, ce qui est d’ailleurs réfuté par tous les absents qui n’y sont pas.

Le juge Goldstone d’Afrique du Sud aurait été dépêché d’urgence par une Commission spéciale de l’ONU présidée  par la Syrie pour enquêter sur les crimes de guerre au Mali. Quand la nouvelle lui est parvenue, le vénérable magistrat au passé raciste aurait été surpris en train de déposer des couronnes de fleurs sur les tombes de jeunes gens qu’il avait condamné à mort  au bon vieux temps de l’Apartheid.  Le juge Goldstone se serait déclaré disponible pour fabriquer un rapport  imaginaire  sur le Mali comme il l’a fait concernant l’opération « Plomb Durci » à Gaza.

Selon des sources indignes de foi le gouvernement israélien aurait été informé par les autorités françaises de leur intention de continuer sur la lancée et de s’emparer de Gaza afin de mettre fin au juste combat des islamistes contre les enfants juifs d’Ashdod, Sderot, Beersheba  et Ashkelon, agglomérations palestiniennes provisoirement occupées par l’Entité Sioniste.

Des désinformations non validées par des fuites organisées laissent entendre que des contacts secrets existeraient entre Israël et la France pour une opération conjointe contre deux organisations humanitaires du Moyen-Orient, le Hamas et le Hezbollah. La  raison qu’avance en cercle privé le Ministre français des Affaires étrangères est que si l’armée de la République se donne la peine de venir à la rescousse de  6000 français  hors de danger au Mali alors il n’est que juste qu’elle se soucie des 150.000 français d’Israël bombardés au quotidien par Gaza. Pour mémoire, le Mali est à 6000 KM de la France et Gaza est à 0 KM d’Israël.

Cependant un haut responsable du Quai d’Orsay déclare sous couvert d’anonymat public qu’il n’en est rien, mais que la France est résolument du côté d’Israël et se battra contre les islamistes de Gaza jusqu’au dernier juif à l’image de ce que  fit jadis le Maréchal Pétain dans son combat antinazi. Ce responsable a précisé que les islamistes trouveraient la France sur leur chemin partout où il y aurait du pétrole. Enfin il a ajouté en confidence que s’il fallait leur livrer l’Etat d’Israël contre du gaz algérien ce ne serait  après tout qu’un bien modeste tribut au nom de la civilisation occidentale.

 

 

Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/01/mali-gaza-meme-combat/#ixzz2IuwJN47W

 

Gaza : les Salomon de comptoir

Israël a tort, même quand il a raison !


Un ami me faisait remarquer, à juste titre, que le titre de « une » de Libération du samedi 16 novembre « Gaza sous le feu » aurait avantageusement pu être complétée par « Israël sous la pluie ». Non que la météo soit maussade au pays du Mossad, mais parce que le feu qui s’abat sur le territoire régi par le Hamas est la conséquence de la pluie de rockets et de missiles Fajr envoyée depuis des mois sur Israël par des groupes islamistes radicaux.

C’est sans doute trop demander aux experts en titraille du quotidien de la rue Béranger d’expliquer à leurs lecteurs que les conséquences sont le produit d’une cause, et non l’inverse. Mais comme à Libé, on n’est pas tombé de la dernière pluie (de rockets), le préposé à l’édito va vous révéler le fin mot de l’histoire. Tout cela ne serait que des manœuvres de dirigeants aussi cyniques que peu soucieux de la vie des gens qu’ils gouvernent : « En Israël, le Premier ministre Benyamin Netanyahou et ses alliés de l’extrême droite va-t-en guerre sont bien décidés à jouer des vieux réflexes et de la peur à quelques semaines des élections législatives » écrit ainsi Vincent Giret. Quelques lignes plus loin, il soupçonne le Hamas de vouloir entraîner l’Egypte des Frères musulmans dans une spirale de violence. Giret, et d’autres confrères de sa corporation éditorialisante, se plaisent à endosser la robe du juge impartial se lamentant qu’une fois de plus les modérés sont débordés par les extrémistes, et qu’il n’y ait en pas un pour rattraper l’autre. Netanyahou et le Hamas sont des « alliés objectifs » pour faire capoter tout ce qui pourrait ressembler à une paix, même fragile entre Israël et les Palestiniens. On passera sur la reprise constante de la vieille antienne stalinienne des « alliances objectives », qui sert avant tout à masquer la paresse de la pensée, et la rusticité de l’analyse.

Netanyahou va-t-en guerre ? Nos Salomon de comptoir n’ont pas dû bien lire la documentation que leur service ad hoc leur a fait parvenir pour alimenter leurs cogitations. Bibi Netanyahou est l’un des rares premiers ministres d’Israël à n’avoir jamais déclenché de guerre lorsqu’il était en fonction entre 1996 et 1999, ni depuis son retour au pouvoir en 2009. On ne le classera pas pour autant dans la catégorie des colombes, car l’homme ne cache pas qu’il n’hésiterait pas à faire donner la garde, et même plus, s’il estime que les intérêts vitaux de l’Etat juif sont menacés.

Netanyahou boute-feu pour des raisons électoralistes ? Nos éditorialistes ont dû confondre avec le combat de titans entre Fillon et Copé, et appliquer à la situation politique israélienne des schémas bêtement hexagonaux. Netanyahou n’a nul besoin d’une guerre pour l’emporter le 22 janvier prochain. Le capital de confiance dont il bénéficie dans une majorité de la population et les divisions de l’opposition laissent augurer une large victoire du Likoud et de ses alliés lors du prochain scrutin. Au contraire, les aléas d’une confrontation armée avec le Hamas, comme cela a été le cas lors de l’opération Plomb durci déclenchée par son prédécesseur Ehud Olmert en 2009, peuvent se révéler électoralement dangereux pour lui. Enfin, toute son énergie est employée à organiser la riposte, diplomatique et militaire, au danger principal pour Israël, la nucléarisation de l’Iran. Cependant, s’il laissait bombarder sans réagir ses électeurs potentiels, on comprendrait que ces derniers lui en tiennent rigueur dans l’isoloir.

La responsabilité de la séquence violente qui se développe actuellement dans la guerre sans fin entre Israël et ses ennemis est à porter au débit du seul Hamas. Les chefs islamistes radicaux de Gaza sont près à sacrifier non pas leur vie (ils se cachent dans les sous sols des hôpitaux du territoire), mais celles de centaines de leurs sujets pour éliminer leur vieil ennemi Mahmoud Abbas et saboter son initiative de reconnaissance d’un Etat palestinien non membre par l’assemblée générale de l’ONU. Mais cela, c’est trop difficile à dire pour nos éminents éditorialistes, parce que c’est trop simple.

 

Le causeur

*Photo : Libération/Patrick Peccatte.


 

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