Pourquoi Macron a besoin d’un cours de soutien en histoire sur Jérusalem

                  HISTOIRE

                        DE

               JERUSALEM

 

Les Juifs étaient majoritaires à Jérusalem au XIXe et au début du XXe siècle

  • La déclaration de 1922 de la Société des Nations, juridiquement contraignante, donne à Israël des droits légaux exclusifs sur l’ensemble de Jérusalem

  • La Jordanie a ethniquement nettoyé les Juifs en 1948

Comme le rappelait justement Jean Patrick Grunberg en 2016, par l'article 80, l’ONU s’est interdit de créer un Etat palestinien – et elle ne peut pas faire machine arrière.

  • Le plan de partition de l’ONU de 1947 pour la Palestine corpus separatum a échoué parce que les Arabes l’ont rejeté

  • En 1967 lors de la guerre des six jours la Jordanie était l’agresseur

  • En 1995, Les accords d’Oslo II, le corpus separatum a finalement été enterré

  •  

Les Juifs étaient majoritaires à Jérusalem au XIXe et au début du XXe siècle

À la suite de la déclaration de Trump à Jérusalem, une partie de la réaction arabo-musulmane a été de répéter le récit arabe palestinien selon lequel Jérusalem était une ville musulmane avant l’arrivée du sionisme et l’immigration juive dans la région.

Cependant, les données statistiques du 19ème et début du 20ème siècle racontent une histoire complètement différente.

Bien qu’il existe plusieurs sources, en partie contradictoires, sur le nombre de Juifs, de musulmans et de chrétiens à Jérusalem au milieu du XIXe siècle, la plupart indiquent une nette majorité juive.

Mon approche pour estimer les vrais chiffres sur la démographie de Jérusalem est de faire la moyenne de toutes les sources européennes (prussiennes, suisses, françaises, britanniques) entre 1844 et 1866, ce qui donne les résultats suivants :

  • Juifs – 7940 (48%)

  • Musulmans – 5010 (30.5%)

  • Chrétiens – 3540 (21,5%)

Les chrétiens comprennent à la fois des chrétiens non arabes et arabes. Les principaux groupes chrétiens étaient grecs orthodoxes, latins et arméniens suivis par les Coptes, les Ethiopiens et les Syriens. En supposant que 75% des chrétiens étaient non-arabes, la population était divisée en 48% de Juifs, 36% d’Arabes, 16% d’Autres.

En 1922, des données beaucoup plus fiables sont disponibles à partir du recensement britannique :

Juifs – 33 971 (54,7%)

  • Musulmans – 13 413 (21,6%)

  • Chrétiens – 14 669 (23,6%)

En appliquant la même hypothèse, cela signifie 55% de Juifs, 27,5% d’Arabes, 17,5% d’Autres

En 1944, la majorité juive passait à 61,8% contre 24,2% pour les Arabes et 14% pour les autres.

Jérusalem était une ville juive, avant et après le sionisme.

Le nettoyage ethnique des Juifs en 1948 par la Jordanie

 

Le terme «nettoyage ethnique» fait apparaître des images de l’exode forcé de 1948 du quartier juif dans la vieille ville de Jérusalem.

En mai 1948, lorsque les forces combinées (Libye, Syrie, Irak, Jordanie, Égypte plus des contingents du Soudan) de la Légion arabe (l’armée jordanienne) et les milices arabes palestiniennes locales conquirent le quartier juif, les résidents juifs n’ont pas été traité comme des résidents du territoire occupé, conformément à la Convention de Genève. Au contraire, tous les Juifs ont été expulsés de leurs maisons.

De plus, après la fin des combats et la signature du cessez-le-feu, avec la «ligne verte» qui traverse Jérusalem, les résultats de l’expulsion ne sont pas inversés. Après la signature d’un accord d’armistice détaillé entre Israël et la Jordanie, aucun Juif n’a été autorisé à retourner dans la vieille ville de Jérusalem. Sous l’occupation jordanienne, ce qui restait des anciennes synagogues était systématiquement détruit ou profané.

Les clauses des accords d’armistice du 3 avril 1949 précisaient que les Israéliens auraient accès aux sites religieux de Jérusalem-Est. Cependant, la Jordanie a refusé d’appliquer cette clause en faisant valoir que le refus d’Israël d’autoriser le retour des Palestiniens dans leurs maisons à Jérusalem-Ouest annulait cette clause dans l’accord.

Les touristes entrant à Jérusalem-Est devaient présenter des certificats de baptême ou une autre preuve qu’ils n’étaient pas juifs.

Le comité spécial qui devait organiser les visites des lieux saints n’a jamais été formé et les Israéliens, quelle que soit leur religion, se sont vu interdire l’accès à la vieille ville et aux autres lieux saints. Le quartier juif et ses anciennes synagogues ont été systématiquement détruits, comme la synagogue Hurva et les pierres tombales du cimetière juif sur le mont des Oliviers qui ont été utilisées pour construire des latrines pour les casernes de l’armée jordanienne.

La Jordanie refusait l’accès au site sacré de toute personne juive, israélienne ou non israélienne, dans une politique ouvertement raciste.

Rejet arabe du plan de partition de 1947, corpus seperatum

La Déclaration de la Société des Nations de 1922, juridiquement contraignante, a déclaré à l’unanimité : «Considérant que le lien historique du peuple juif avec la Palestine a été reconnu et que les motifs de reconstitution de leur foyer national dans ce pays ont été reconnus». La déclaration attribuait la totalité de la Palestine au foyer national juif, donnant à Israël des droits légaux exclusifs sur l’ensemble de Jérusalem.

Dans le Plan de partage des Nations Unies pour la Palestine de 1947, la région de Jérusalem et Bethléem ont été proposées pour devenir «corpus separatum». Selon le plan, la zone serait placée sous un régime international, lui conférant un statut spécial en raison de son importance religieuse commune.

  • Le plan de partition a échoué. Israël a accepté le plan mais les dirigeants arabes ont rejeté la résolution et indiqué qu’ils rejetteraient tout autre plan de partition.

  • Les délégations des États arabes ont déclaré immédiatement après le vote de la partition qu’elles ne seraient pas liées par la décision, et ont quitté le pays.

  • Ils ont fait valoir que cela violait les principes de l’autodétermination nationale dans la charte des Nations Unies qui accordait aux gens le droit de décider de leur propre destin. Les délégations arabes à l’ONU ont publié une déclaration conjointe le lendemain de ce vote qui stipulait: « le vote concernant la partition de la Palestine a été soumis à de fortes pressions et à de fortes pressions, ce qui le rend doublement invalide ».

Le 16 février 1948, la Commission des Nations Unies pour la Palestine au Conseil de sécurité a rapporté que « Des intérêts arabes puissants, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Palestine, défient la résolution de l’Assemblée générale et s’efforcent délibérément de modifier par la force le règlement envisagé. «  Les Arabes étaient également contre l’établissement d’un régime international à Jérusalem.

Avant 1967, les Arabes rejetaient totalement le plan de partition et le corpus separatum. En 1949, Israël a déclaré Jérusalem comme capitale et le plan a été abandonné par les deux parties au conflit.

Hypocritement, après 1967, ils ont commencé à le soutenir, comme un moyen de faire pression sur Israël pour qu’il cède Jérusalem.

En 1995, dans les Accords d’Oslo II entre Israël et l’AP, le corpus separatum a été finalement enterré lorsque la zone en question a été divisée – la partie de Bethléem incluse dans le corpus separatum est devenue partie de la zone A sous administration de l’autorité palestinienne, tandis que la partie Jérusalem du corpus separatum est resté sous le contrôle total israélien.

En acceptant la partie de Bethléem du corpus seperatum sous contrôle de l’autorité palestinienne, celle-ci a indirectement confirmé que le corpus seperatum était mort.

 

La Jordanie était l’agresseur dans la guerre des Six Jours 

Certains révisionnistes prétendent qu’Israël était l’agresseur dans la guerre des Six Jours et a commencé la guerre avec la Jordanie afin de capturer Jérusalem-Est et la «Cisjordanie».

Les faits historiques nous rappelle une histoire différente.

L’Egyptien Nasser a utilisé la confusion des premières heures du conflit pour convaincre le roi Hussein de Jordanie qu’il était victorieux. Une des brigades jordaniennes stationnées en Cisjordanie a été envoyée dans la région d’Hébron afin d’établir des liens avec les Égyptiens. Hussein a décidé d’attaquer. Des échanges intermittents de mitrailleuses ont commencé à se dérouler à Jérusalem le 5 juin à 9 h 30, et les combats se sont graduellement intensifiés au fur et à mesure, les Jordaniens commençant à tirer au mortier et au canon. Sous les ordres du Général Narkis, les Israéliens ont réagi seulement avec des tirs d’armes légères, tirant sur une trajectoire plate pour éviter de frapper des civils, des lieux saints ou la Vieille Ville.

À 10h00 le 5 juin, l’armée jordanienne a commencé à bombarder Israël. Deux batteries de 155 mm de long ont ouvert le feu sur les banlieues de Tel Aviv et de Ramat David. Les commandants de ces batteries ont reçu l’ordre de lancer un barrage de deux heures contre des cibles civiles et militaires dans le centre d’Israël. Des obus ont frappé la périphérie de Tel Aviv.

Le Premier ministre israélien Eshkol avait envoyé un message au roi Hussein promettant de ne pas engager d’action contre la Jordanie si elle restait hors de la guerre. Le roi Hussein a répondu qu’il était trop tard, « le dé était jeté ».

Les Jordaniens ont commencé un barrage de 6 000 obus sur Jérusalem. Les installations militaires, la résidence du Premier ministre et l’enceinte de la Knesset ont également été ciblées. Les pertes civiles israéliennes ont fait 20 morts et environ 1 000 blessés. Quelque 900 bâtiments ont été endommagés, notamment l’hôpital Hadassah Ein Kerem.

16 avions jordaniens ont attaqué des villes du centre d’Israël, tuant un civil, en blessant sept et en détruisant un avion de transport.Ce n’est qu’alors que l’armée israélienne a commencé à riposter, ce qui a conduit à la libération de Jérusalem-Est après 19 ans d’occupation illégale jordanienne (1948 à 1967)


Résumé

En somme, Jérusalem entière appartient à Israël – historiquement, légalement et moralement.

NB : A l’heure ou j’écris cet article j’apprends que le Honduras, le Paraguay, la république Tchèque et le Guatemala sont prêts à transférer leur ambassades à Jérusalem

Merci à Tomer Ilan pour sa collaboration

Sources:

Demographic history of Jerusalem:https://en.wikipedia.org/w…/Demographic_history_of_Jerusalem
Jordanian annexation of the West Bank: 
https://en.wikipedia.org/…/Jordanian_annexation_of_the_West…
The Six-Day War: 
https://en.wikipedia.org/wiki/Six-Day_War
United Nations Partition Plan for Palestine: 
https://en.wikipedia.org/…/United_Nations_Partition_Plan_fo…
Corpus separatum:
https://en.wikipedia.org/wiki/Corpus_separatum_(Jerusalem)
Jordan’s Ethnic Cleansing of Jews in 1948: 
http://www.jpost.com/…/Ethnic-cleansing-Memories-of-1929-an…
Jordan shelling on Tel Aviv in 1967 (Hebrew):
https://news.walla.co.il/item/3063670

 

PUBLIÉ PAR  JEAN VERCORS LE 13 MARS 2018Les

© Jean Vercors pour Dreuz.info.

Désaccords nucléaires et amertume européenne 

 

Jean-Pierre Bensimon

Il n'a fallu que quelques heures, mardi dernier, pour que la sortie des États-Unis de l'accord nucléaire avec l'Iran provoque un émoi confinant à la transe dans les cercles dirigeants de la France et dans le petit monde des micro, des caméras et des experts qui lui sert de pendant.Le même phénomène s'était produit le 6 décembre dernier, quand l'Amérique avait décidé de reconnaître qu'effectivement l'administration israélienne était bien localisée à Jérusalem, ce qui en faisait ipso facto la capitale d'Israël.Comme chacun convient que la colère n'est pas une bonne conseillère, il vaut mieux  revisiter la réalité des faits pour la dissiper.Première idée fausse, Trump nous dit-on est revenu sur les engagements d'un accord signé par son pays, mais aussi par la Russie, la Chine, l'Allemagne, l'Union européenne, etc. La vérité c'est que cet accord n'a jamais été SIGNÉpar quiconque, pas le moindre paraphe, pas la moindre cérémonie. Pourquoi? Parce que le président de l'époque, Barack Obama savait que son accord serait rejeté par le Sénat américain, en charge selon la procédure constitutionnelle de la ratification des traités. Le Sénat ne voulait pas du tout de ce texte, comme l'écrasante majorité des Américains à l'époque. L'accord n'a pas été signé par l'Iran non plus, le collège des mollahs refusant religieusement de traiter ouvertement, sous les yeux d'Allah, avec le Grand Satan, même si la maigreur de ses finances lui faisait quotidiennement tirer le diable par la queue. Le JCPOA (Joint Complete Plan Of Action) naissait dans la dissimulation.Comme il fallait quand même donner un brin de légitimité internationale à l'arrangement, le texte convenu fut intégralement intégré dans la résolution 2231 du Conseil de sécurité, adoptée à l'unanimité le 20 juillet 2015, six jours seulement après la clôture de la négociation. Or, dès le lendemain, l'Iran fit savoir qu'il ne respecterait pas cette résolution, à la stupeur des naïfs. Pourquoi? Tout simplement parce que des dispositions avaient été ajoutées au JCPOA par les Occidentaux dans la résolution (l'annexe B, point 3), qui prohibaient toute activité iranienne relative aux missiles balistiques pouvant emporter des armes nucléaires. C'est dire que depuis le 20 juillet 2015, l'Iran a violé tous les jours, sans rien cacher, la résolution unanime du Conseil de sécurité. Une étrange amnésie règne concernant cette brèche originelle, plus sévère encore celle concernant le souvenir du génocide des chrétiens arméniens dans l'encéphale de Reccep Tayyip Erdogan.La seconde idée fausseressassée à l'infini, c'est que les Iraniens respectaient l'accord du 14 juillet 2015. Il faut réfléchir un instant. Le but de l'accord était d'interdire à l'Iran de mettre au point un arsenal nucléaire militaire. De quoi se compose un tel arsenal? Il faut ducombustiblefissile, de l'uranium ou du plutonium d'un certain grade, l'intégration du combustible dans une ogive dotée d'un détonateur idoine, cela s'appelle la "militarisation" de l'arme, et des missilespour envoyer la bombe sur sa cible. Qu'est-ce qu'a fait l'Iran au lendemain du 14 juillet 2015 ? Il a affecté toutes ses ressources à la mise au point de missiles du type ICBM (Intercontinental Balistic Missile) pour "délivrer" la bombe et à la difficile militarisation de l'arme , sachant que l'usinage hémisphérique de l'ogive et la mise au point de systèmes de détonation sont des opérations très techniques. Et pour masquer cette activité décisive pour la conclusion de son programme nucléaire, il a localisé les fameuses opérations de militarisation dans les enceintes de bases militaires sélectionnées. Et il a interdit aux inspecteurs de l'AIEA l'accès à ces bases militaires. Pas bien subtil mais efficace avec ceux qui adorent ne rien voir. En fait depuis le 14 juillet 2015, l'Iran est en train de maîtriser justement les technologies qui lui manquaient pour achever avec succès sa longue marche vers l'arme suprême. Donc soit M. Le Drian est aveugle et ignorant, qui le croirait, soit il se comporte en tartufe devant les Français en répétant que l'Iran respecte ses engagements. Mais dira-t-on, l'Iran n'a-t-il pas cessé l'enrichissement de l'uranium ? Sans doute, du moins dans les sites où il veut bien accorder un accès à l'AIEA. Mais ses centrifugeuses, il les a toujours, à l'arrêt mais dûment stockées, prêtes à l'emploi, dans ses entrepôts ; les techniques d'enrichissement, il les possède déjà. Et comme l'accord d'Obama supervisé par notre Fabius national est bien fait, il permet à l'Iran de poursuivre ses recherches sur les centrifugeuses. Ce qu'il n'a pas manqué de faire. Il a donc désormais des centrifugeuses IR8, c'est à dire quatre fois plus puissantes que les IR1 et IR2 de 2015. Il mettra quatre fois moins de temps pour obtenir le combustible voulu.Voila clairement ce que l'Iran s'est évertué à faire depuis 2015 : acquérir la technologie des ICBM, maîtriser la militarisation de l'ogive atomique, et moderniser sa panoplie de centrifugeuses. Qui verrait là, le moindre rapport avec la poursuite d'un programme nucléaire militaire? Personne sans doute, ni à l'Élysée, ni au Quai d'Orsay.On passera sur les inspections de l'AIEA, une tartuferie en soi dans la tartuferie. Les programmes nucléaires secrets des pays adhérents au Traité de non-prolifération, sous contrôle de l'AIEA, sont connus de deux façons: soit quand, à la surprise générale, un pays fait exploser sa bombe (Pakistan, Inde), soit quand les sites secrets sont dévoilés à la presse par des groupes d'opposition (Iran). La Corée du Nord, elle, invitait les inspecteurs à lui rendre visite pour faire savoir combien elle était avancée, et quel prix élevé il fallait payer pour qu'elle consente à faire une pause. La tartuferie suprême du JCPOA d'Obama, c'est d'avoir prévu un accord secret entre l'AIEA et l'Iran, secret même vis-à-vis des États-Unis (!!) , pour établir l'état d'avancement exact du programme antérieur, et calculer à partir de là le temps nécessaire pour parvenir à la phase du "saut nucléaire". Et la diplomatie obamo-fabiusienne de produire une innovation sidérale, l'auto inspection. C'est ainsi que l'inspecté, l'Iran, fournissait lui-même aux inspecteurs les documents de l'inspection.Le président Macron a beaucoup dit, et son ministre a beaucoup répété, que faute d'obtenir le maintien de Trump dans l'accord, la France et les Européens allaient conserver l'accord et tenter de l'élargir aux missiles et au comportement agressif de l'Iran dans la région. Voila une excellente perspective, car comme le sous-entendait Donald Trump le 8 mai, l'Iran risque bien de désirer furieusement dans quelques mois ce genre de sortie de crise. Seulement, cette perspective, c'est justement la démarche qu'avait explicitement exigé Trump lui-même, dans un précédent discours où il laissait jusqu'en mai aux Européens pour aboutir: " Aujourd'hui, je renonce à l'application de certaines sanctions nucléaires, mais seulement pour obtenir l'assentiment de nos alliés européens en vue de corriger les terribles failles de l'accord nucléaire iranien." C'était le 12 janvier 2018. Macron a découvert tardivement la demande de Trump et il a déclaré être l'auteur de cette bonne idée. Tout narcissisme mis à part, c'est une initiative bienvenue. Ce qui est par contre beaucoup plus préoccupant, c'est de vouloir monter un front euro-iranien contre l'Amérique. La stratégie de l'Iran, bien entendu, consiste à  diviser les Occidentaux. Il est consternant de voir le trio May-Macron-Merkel tomber dans le piège pour quelques petites poignées de dollars. (Le commerce de l'Union européenne avec l'Iran représente 0,5% du total).Leur attitude serait compréhensible à deux conditions. La premièreserait qu'ils croient vraiment que l'Iran a renoncé à détenir un arsenal nucléaire militaire. De quelque façon que l'on prenne le problème, tout montre que dans la réalité, au contraire, l'Iran fait tout pour obtenir cet arsenal. Outre les éléments présentés plus haut, avoir voulu férocement conserver des infrastructures nucléaires intactes au lieu d'accepter le démantèlement, première exigence européenne avant qu'Obama ne se mêle de la question, montrait bien leur intention. Leur refus de négocier la date de fin de la suspension de l'enrichissement de l'uranium, est une autre preuve. La non-transformation du réacteur à eau lourde d'Arak en réacteur à eau légère, un viol de l'accord, est une preuve de plus.La seconde conditionqui devrait guider les Européens, c'est l'évolution du régime iranien. Est-il en train d'être moins agressif, moins expansionniste, plus coopératif avec ses voisins? S'intéresse-t-il plus aux besoins de son peuple, au développement de l'économie civile, à l'introduction d'un minimum de respiration démocratique? C'est tout le contraire ! L'Iran de l'accord nucléaire a allumé les feux de la guerre dans tout le Moyen-Orient depuis 2015, il a été le sauveur de l'épouvantail de l'Europe, Bachar Assad, et il implante aujourd'hui partout en Syrie et au Liban des bases enterrées de missiles de haute précision, préparant avec Israël une nouvelle "guerre dans la guerre." Quand au peuple iranien, rien ne peut décrire sa déconfiture. Derrière Rouhani, le cache sexe "modéré", on pend et on exécute comme jamais. Les infrastructures de distribution de l'eau, qui datent de l'ancien régime et parfois même de l'Antiquité sont en ruine, retournant des régions entières à l'aridité. C'est l'une des raisons de la brusque flambée de révolte de décembre dernier. Il semble parfois que le peuple iranien, dont la fécondité s'est effondrée en quarante ans comme jamais dans l'histoire humaine, soit trop affaibli pour même se révolter. Emmanuel Macron devrait se souvenir qu'à l'automne, quand il a osé évoquer une négociation sur le programme balistique iranien, les généraux iraniens lui ont brutalement fait savoir que s'ils persistait dans ses demandes, ils allaient être contraints d'allonger la portée de leurs missiles en test. Il faut aussi que l'on comprenne bien en Occident que le pouvoir iranien n'est pas un pouvoir chiite, mais celui d'une phalange semi-mafieuse sans légitimité. La doctrine de Khomeiny n'est pas partagée par les grands docteurs de la foi chiite, par exemple par le plus éminent d'entre eux, l'ayatollah irakien Ali al-Sistani. Selon cette doctrine, le plus savant des docteurs de la foi doit exercer le pouvoir en l'attente du retour d'occultation du 12ème Imam, parce c'est à lui que Dieu confie provisoirement l'autorité. Son pouvoir, son statut de "source d'imitation", est dû à sa connaissance supérieure de la charia. Mais la théologie de Khomeiny ne dit rien de la procédure de désignation du détenteur du pouvoir. Lui-même s'en est saisi à l'occasion d'une révolution. Ce qui n'était pas très catholique, très chiite plutôt. Seul son titre d'ayatollah l'a un peu légitimé. Quant à Khamenei, le Guide actuel, il n'était qu'un clerc intermédiaire (hojjatol islam). Sa légitimité de guide en religion lui a été reconnue par une instance politique, l'assemblée des Experts, bourrée de ses partisans par Khomeiny, mais pas par une instance religieuse. Les juristes et clercs de haut rang ne l'ont jamais reconnu, car il auraient dû lui obéir, alors qu'ils le considéraient comme un ignorant. Les grands ayatollahs, Montazeri et Youssef Sanei, ont défié son autorité et ils ont été mis en résidence surveillée. La légitimité religieuse de Khamenei n'existe pas. Privé de l'investissement de Dieu, Khamenei a mis au point un système purement totalitaire des plus terre-à-terre, fait de réseaux obscurs à tous les étages de la société, recouvrant de façon plus ou moins occulte les fonctions religieuses, administratives, militaires, etc.. Ayant la tête près du bonnet, il s'est approprié un énorme conglomérat, Sedat, qui représente aujourd'hui près de 100 milliards de dollars. De même les généraux de sa garde prétorienne, les Gardiens de la Révolution, ont fait main basse sur tous les secteurs de l'économie. Ces prédateurs incompétents paralysent la dynamique que les ingénieux entrepreneurs persans sauraient impulser. La nature du régime iranien, belliciste et expansionniste à l'extérieur, prédateur et asphyxiant à l'intérieur, est à la dérive, à tout jamais. Il ne tire une étincelle de vie que de l'aventure militaire, et des nombreux Satans qu'il invente pour contrôler la colère de son peuple.  Le trio européen May Macron, Merkel croit-il vraiment que ce genre de régime va s'apaiser et se bonifier? A-t-il la moindre chance d'initier un cycle de développement, de devenir un partenaire industriel et commercial, alors que ses forces vives, la jeunesse éduquée, déserte en masse l'enfer totalitaire qu'il lui promet ? Ce qui manque cruellement au trio européen, c'est de penser au peuple iranien, de parler du peuple iranien, de parler au peuple iranien. Quelle que soit la perception que l'on a de la personnalité de Donald Trump, on ne peut lui retirer le mérite de parler toujours du peuple iranien, et au peuple iranien, quand il prononce un discours sur l'Iran.

Jeudi 10 mai 2018

J’ai dit qu’Israël devrait avoir honte, maintenant c’est moi qui ai honte.

 

Mardi, il a écrit un article sur les affrontements à la frontière de Gaza. Aujourd’hui, il reconnaît qu’il avait tort

Line Tubiana

 

Ce n’est jamais facile de dire  qu’on est désolé.

D’admettre qu’on a tort. D’annoncer publiquement, « j’ai fait une erreur ».

Mais s’excuser quand ces excuses sont liées à ce qui est, peut-être, le conflit le plus difficile à résoudre sur terre, est encore mille fois plus difficile.

Mais c’est ce que je suis. DESOLE.

Il y a quelques jours, j’ai écrit une chronique sur la dernière vague de violence à la frontière avec Gaza.

C’était un cri du cœur. J’aime Israël. Je l’ai toujours aimé et je ne peux pas imaginer un moment où je ne l’aimerai plus. Mais dans mon bureau, je suis assis près d’un téléviseur. Et lundi, j’ai vu ceci.

A gauche, à Jérusalem, j’ai vu des visages heureux. Visages satisfaits et suffisants. J’ai vu le Premier Ministre d’Israël parler de l’ouverture de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem, un grand pas vers la paix.

Et à droite, simultanément, à Gaza, j’ai vu du gaz lacrymogène, de la fumée et des balles.

Et c’est dans ce contexte que j’ai écrit mon article, qui était extrêmement personnel. Je l’ai écrit dans l’angoisse. Je l’ai écrit en précisant que je méprisais le Hamas et tout ce qu’il représentait. Mais j’ai quand même écrit ce qui suit:

« Chaque balle qu’Israël tire, chaque vie qu’Israël prend, aggrave la situation. Il existe des moyens de disperser les foules sans utiliser les tirs réels. Mais Tsahal a fait le choix de tirer en rafale et de tuer des dizaines de personnes. Vous ne pouvez pas me dire qu’Israël, une terre de miracles technologiques qui doivent être vus pour être vraiment crus, est incapable de trouver une façon de neutraliser les manifestants sans abattre des douzaines d’entre eux. Mais non. Devant le monde entier, Israël continue de tirer et des manifestants, y compris de très jeunes manifestants, continuent de mourir. Vous pouvez me dire que le Hamas veut ces morts, veut créer des martyrs, veut remplir le cœur des Gazaouis de rage contre Israël parce que l’alternative est que les gens regardent leur vie à Gaza et se révoltent contre le Hamas. Mais si vous me le dites, pourquoi ne vous demandez-vous pas pourquoi Israël donne si volontiers au Hamas exactement ce qu’il souhaite? »

J’ai reçu beaucoup d’éloges pour mon article, des gens que j’admire beaucoup, mais aussi de nombreuses sources inattendues, y compris de la part de la communauté juive.

J’ai également reçu beaucoup de critiques. On m’a traité de traître, et de la pire de toutes les insultes qu’un juif puisse donner ou recevoir, de « Kapo ».

Les gens ont également répondu. On m’a dit que, en tant que juif ne vivant pas actuellement en Israël, mon plus grand souci était de savoir si Starbucks aurait du lait d’amande-soja pour mon café au lait.

Mais la critique qui m’a le plus touché provenait de personnes qui ont souligné qu’il était absurde de traiter des hypothèses. J’avais dit qu’il devait sûrement y avoir un moyen d’arrêter les manifestants sans leur tirer dessus à balles réelles – qu’Israël, avec ses incroyables capacités technologiques, devait être capable de le faire. C’était un cri d’angoisse, mais ce n’était pas un argument. Si une telle technologie n’existe pas actuellement, il était absurde de ma part de blâmer Tsahal de ne pas l’avoir utilisée par un tour de magie. La technologie traditionnelle d’arrêt de foule n’aurait pas fonctionné efficacement. Les balles en caoutchouc sont efficaces à courte portée. Idem pour les canons à eau. Et avec des dizaines de milliers de personnes se précipitant à la frontière, il aurait été impossible de se défendre efficacement. La frontière aurait été brisée. Et puis, sans aucun doute, beaucoup de gens en Israël seraient morts. C’était, après tout, le but déclaré du Hamas.

Mais ce qui m’a encore plus bouleversé, c’était hier, lorsqu’un agent du Hamas est passé à la télévision et a affirmé que, sur les 62 personnes tuées ces deux derniers jours, cinquante étaient des membres du Hamas. Le Djihad islamique en a revendiqué trois de plus, ce qui signifie que plus de 80% des personnes qui ont été tuées alors qu’elles tentaient de franchir la frontière appartenaient à des organisations terroristes dont le but direct est d’apporter la mort et la souffrance en Israël.

Et j’ai ouvert mes yeux et j’ai vu ce que j’avais fait.

J’étais tombé dans le piège dans lequel j’avais toujours cru ne jamais tomber. J’avais condamné Israël pour sa défense.

Il y a des choses que l’on peut écrire sur la façon dont Israël aurait pu agir différemment face à ces tentatives d’intrusion. Mais ce n’était pas le sujet de mon article original. J’ai écrit que, en tuant les Palestiniens qui couraient vers Israël, Tsahal donnait au Hamas exactement ce qu’il voulait – des martyrs pour la cause.

Je n’ai pas compris que, d’une manière ou d’une autre, Israël donnerait au Hamas ce qu’il voulait. Si vous tirez sur ceux qui vous attaquent, le Hamas aura ses martyrs. Si vous ne tirez pas, le Hamas franchira la barrière et apportera la souffrance et la mort – son but déclaré – aux Israéliens vivant à quelques centaines de mètres seulement de cette barrière. La marche a pu être à l’origine, comme cela a été déclaré, la volonté de Palestiniens de retrouver des maisons qu’ils ont dû quitter 70 ans auparavant. Mais le but du Hamas était beaucoup plus simple – « Nous allons abattre la frontière et nous arracherons leurs coeurs de leurs corps. »

J’ai écrit dans mon précédent article qu’Israël était une puissance régionale et qu’elle était assez forte pour être critiquée par les Juifs de la diaspora.

Je crois toujours que c’est vrai. Je ne crois tout simplement pas que ma critique était valide. Étant donné les circonstances et la situation sur le terrain, je n’arrive pas à trouver une meilleure solution. Le choix était, littéralement, de tirer sur des gens qui vous attaquaient dans le but déclaré de vous tuer, vous et vos familles, ou de ne pas tirer et de les laisser faire.

Il y a quelques jours, j’ai dit que je ne pouvais pas défendre les actions d’Israël, et ne le ferais pas. Maintenant, dans la lumière froide du jour, je ne pourrais pas ne pas défendre Israël, et je le ferai.

J’ai dit qu’Israël devrait avoir honte de ses actions. Mais aujourd’hui, c’est moi qui ai honte.

Traduit et adapté d’un article de Daniel Sugarman

 

 

 

Posté le 17 mai 2018 par admin — Aucun commentaire ↓

 

 

La France finance des ONG actives dans les campagnes de boycott et ayant des privilèges avec les groupes terroristes

15 janvier 2017 (mis à jour le 23 janvier 2017)

 

 

Cliquez ici pour lire la version anglaise de ce rapport, le financement français aux ONG impliquées dans les campagnes de boycott et les liens présumés avec les groupes terroristes

Une conférence internationale pour la paix au Proche-Orient à l'initiative de la France aura lieu le 15 janvier 2017 à Paris. (ONG) soutenant les campagnes BDS (boycott, désinvestissement et sanctions) contre l'Etat d'Israël et / ou ayant des privilèges présumés Des groupes terroristes. Ce soutien jette le doute sur l'aptitude de la France à servir d'hôte impartial à un sommet consacré à la paix.

CV:

Le gouvernement français finance de nombreuses organisations françaises, israéliennes et palestiniennes soutenant et faisant la promotion des campagnes BDS contre Israël et ce, malgré le fait que les boycotts sont illégaux au regard de la loi française .

La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine (La Plateforme) est un bénéficiaire de cette aide financière. Un de ses projets, financé de manière abusive par l'argent des contribuables une ouverture pour mais d'influencer les élus, les médias, et l'opinion publique sur le conflit. La Plateforme soutient les campagnes de boycotts contre l'Etat d'Israël et les partenaires des organisations jouent un rôle important dans les campagnes BDS .

La France finance directement et indirectement plusieurs autres ONG ayant des privilèges avec le groupe terroriste FPLP.

Analyse détaillée:

Le financement de la France aux organisations qui soutiennent les boycotts d'Israël, en violation directe de la loi française :

En 2015, la Cour de Cassation confirme une décision de 2013 concernant l'illégalité des boycotts et de l'appel aux boycotts en France. Par cette interdiction, BDS France fut condamnée à 28 000 € de dommages et intérêts aux partis civils par une cour de justice locale, après l'appel de 14 activistes (2010) au boycott des produits israéliens dans un supermarché. Chacun de ces activistes a été condamné à verser une amende de 1.000 €.

Malgré ces décisions de justice, le gouvernement continue le financement des ONG qui soutiennent les campagnes de boycott.

Le soutien aux campagnes de boycott se manifeste en France sous plusieurs formes. Entre autres:

La Campagne « Made in Illegality », La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine , La Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH), et le syndicat français de la CGT et ses partenaires, va bien au-delà de la décision Française (novembre 2016) de soutenir l'étiquetage des produits israéliens dans les territoires disputés. Cette campagne soutient le boycott de ces produits. Les objectifs de cette campagne sont «d'interdire l'importation des produits des colonies», «d'exclure les colonies d'accords bilatéraux et de coopération avec Israël», «exclure les entreprises actives ou installées dans les colonies de marchés publics Et des appels publiques d'offres ... »

Al-Haq , FIDH , CCFD-Terre Solidaire , et l'Association France Palestine Solidarité (AFPS) sont des membres de la campagne qui prônent la fin des relations entre les banques françaises et israéliennes ayant des succursales dans les territoires disputés. (Voir les lettres de l'AFPS adressées au Crédit Agricole , à la Société Générale et à la Compagnie d'Assurance AXA ). En pratique, cela a pour résultat un désinvestissement de la plupart des grandes banques israéliennes .

La campagne pour la suspension de l'association israélo-européenne menée par la Plateforme , l' AFPS , la Ligue des Droits de l'Homme (LDH), et d'autres.

Le gouvernement français soutient des organisations françaises, israéliennes et palestiniennes impliquées dans la promotion des campagnes BDS contre Israël . Entre autres:

ONG françaises:

AFPS : 139.550 € de 2012 à 2014 par l'Agence française pour le développement (AFD); 36 500 euros en 2013 , 53 000 euros en 2014 et 25 500 euros en 2015 par le ministère français des affaires étrangères et du développement international (MAEDI)

La Cimade : 4,3 millions d'euros en 2015

ONG israéliennes:

Centre d'Information Alternatif (AIC) ( Centre d'informations alternatives ):

Commission nationale consultative des droits de l'homme : 14 950 euros en 2013

Via CCFD-Terre Solidaire : 4 975 € en 2015, 12 960 € en 2016

Israël TV sociale (via CCFD-Terre Solidaire): 5 000 € en 2015

ONG palestiniennes (financées par l'AFD):

Comités palestiniens de secours agricoles (PARC): 329 888 $ de 2010 à 2013

Centre de développement MA'AN : 343 578 $ de 2010 à 2013

Association de la culture et de la pensée libre: 770 032 euros en 2014

Groupe d'hydrologie palestinien: 394 200 $ de 2010 à 2013

Le gouvernement français finance un projet de la Plateforme ayant pour but de fournir aux élus, aux médias et au public une "information adaptée" sur le conflit :

40% (225 000 €) du projet de la Plateforme « Mieux agir pour le respect du droit en Palestine » (AFD). Le projet décrit les « groupes cibles » comme les élus et les institutions, les medias, et le grand public français, les jeunes et les novices étant visés plus particulièrement. Le projet se veut devoir cibles avec une information adaptée à leurs besoins . »Parmi les ONG partenaires de ce projet et figurent entre autres:

Ittijah - En 2010, le responsable d'Ittijah, Amir Makhoul, un été condamné à 9 ans de prisons pour espionnage au profit du Hezbollah pendant la guerre du Liban de 2006. La Plateforme et ittijah étaient déjà partenaires en 2009 sur un projet financé en Partie par le gouvernement français (43.560 € au travers de l'AFD) alors que Makhoul était encore à la tête de l'organisation.

Coalition des Femmes pour la Paix - une initiée à la campagne « Qui profite » «en réponse à l'appel palestinien pour le boycott, le désinvestissement, et les sanctions (BDS) contre Israël. Une base de données qui identifie les cibles pour un boycott anti-israélien.

Réseau des ONG palestiniennes - Un acteur important des campagnes BDS et rédaction des documents de la conférence de Durban de 2001 appelant à l'embargo sur Israël.

La Plateforme publie également sur son site web des «dossiers thématiques» basés sur les informations fournies par d'autres ONG israéliennes et palestiniennes politisées. Parmi ces ONG et figurent: B'Tselem , EWASH , Addameer , Défense des Enfants Internationaux - Palestine (DCI-P), FIDH , BADIL , Qui Profits , Al-Haq et Yesh Din . Les recherches d'ONG Surveillez montrent que Addameer, Al-Haq et DCI-P ont des privilèges présumés avec le groupe terroriste FPLP (voir dessous).

Claude Léostic , directrice de La Plateforme, fut interdite d'entrée en Israël. Elle a été impliquée dans les campagnes radicales et a fait des déclarations incendiaires - notamment celles mentionnées dans une lettre de 2009:

«Je suis un lieu en Palestine [en 2002] un an après le début de votre Intifada.

Un comparé Israël à l'Allemagne nazie «... Le peuple de France un visage résisté aux barbares nazis ... Mais vous avez souffert depuis plus de 40 ans, aussi incroyable que cela peut être dans ce monde moderne, et cela après la Nakba ...»

S'est barricadée avec Yasser Arafat à Ramallah en 2002: «Il ne me semblait pas acceptable de laisser continuer le gouvernement israélien avec leurs crimes et leur plan d'éliminer le leadership palestinien.

Une participation à la flottille de 2011 pour Gaza et fut arrêtée .

La France finance des ONG ayant des liens présumés avec l'organisation terroriste FPLP :

La France a soutenu de manière directe (par le biais de l'AFD et du consulat général de France à Jérusalem) et indirecte via des ONG tierces des organisations ayant des privilèges présumés avec l'organisation terroriste FPLP. Le FPLP est une organisation terroriste reconnue comme telle par les États Unis , l ' UE , le Canada et Israël . Depuis sa création en 1967, les attentats suicides, les détournements d'avions et les assassinats.

Les organisations recevant des financements français ayant des privilèges avec le FPLP comprennent:

Centre d'Information Alternatif (AIC): AIC est une ONG israélienne qui soutient les campagnes BDS contre Israël et accuse l'état de « nettoyage ethnique » et de « discrimination de type apartheid . »AIC a reçu 39.481 euros de la France depuis 2013. En 2012, l'ONG a reçu le Prix des Droits de l'Homme de la République française - Liberté - Egalité - Fraternité du Gouvernement français pour son« œuvre dans la défense des droits De l'homme »

Son co-fondateur Michel Warchavsky, qui fut un leader de l'organisation trotskiste antisioniste «Matzpen», fut emprisonné dans les années 90 pour avoir publié des tracts relatifs au FPLP.

Nassar Ibrahim , co-directeur d'AIC, est l'ancien rédacteur en chef de El-Hadaf (hebdomadaire du FPLP).

Rifat Odeh Kassis , membre du conseil d'administration d'AIC en 2008, de multiples liens avec les ONG en lien avec le FPLP et le futur arrêté et emprisonné à plusieurs reprises par Israël.

Union des comités de travail agricole (UAWC): Un syndicat des comités du travail agricole: l'organisation fait l'utilisation d'une rhétorique biaisée et de la démonisation, accusant les forces d'occupation d'Israël Et immorale [2014] sur Gaza »et de poursuivre une« politique de punition collective faisant du droit international et humanitaire. »De 2012-2014, UAWC a conduit un projet évalué à 354.489 € dans le« gouvernorat Hébron. »Les principaux contributeurs de ce projet furent: 177 000 euros du ministère français de l'environnement de l'énergie et de la mer via l'agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse; 31 000 € du consulat général de France à Jérusalem; Et € 93.176 du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.

UAWC a été fondée en 1968 par les membres du FPLP et est une « filiale » officielle du FPLP.

USAID identifie UAWC comme le «bras agricole» du FPLP.

Al-Haq : Al-Haq est un chef de la loi anti-israélienne et des campagnes BDS . En 2015, MAEDI a remis à Al-Haq € 27.842 (ligne 1199) pour soutenir ses activités dans le domaine «secteur privé et droits de l'homme. »

Shawan Jabarin, directeur général d'Al-Haq à des privilèges présumés avec l'organisation terroriste FPLP et ainsi de suite refuser l'obtention du visa de sortie par Israël et la Jordanie .

En 2007, la cour suprême israélienne a rejeté l'appel de Jabarin de se rendre à l'étranger déclarant que Jabarin est un «activiste de la FPLP de haut rang ...» «agissant à la manière du docteur Jekyll et de Mister Hyde ...» , «PDG d'une organisation humanitaire d'une partie du temps ...» et en parallèle «activiste dans une organisation terroriste n'ayant pas renoncé au meurtre ...»

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Financement français aux ONG impliquées dans des campagnes de boycott et avec des liens présumés avec des groupes terroristes

10 janvier 2017

Rapports

Le financement par le gouvernement français des groupes qui soutiennent les campagnes du SDE et avec des liens présumés avec des groupes terroristes met en doute sa capacité à servir d'hôte impartial d'un prochain sommet consacré à la paix.

NGO MONITOR

 

 

 

Antisionisme d'Etat ?

Shmuel Trigano

 

Que la France pratique une politique pro-arabe, personne ne peut le nier. Que la France, depuis l'époque du Grand Mufti nazi, qu'elle aida à fuir le procès de Nuremberg, a fait de la promotion de la cause palestinienne un des axes de sa politique étrangère, personne ne peut le nier. Que sous Sarkozy, elle a fait admettre l'Autorité Palestinienne à l'UNESCO, comme si elle était un Etat qui peut le nier ? Que, sous Hollande, elle a reconnu un Etat palestinien qui n'existe pas dans la réalité, qui peut le nier ? Que sous Hollande elle a voté une résolution faisant des Juifs des étrangers sur les lieux mêmes de leur histoire antique et de leur religion, qui peut le nier ? Qu'elle engage une "conférence" internationale pour imposer un diktat à Israël s'il n'accepte pas les requêtes de l'Autorité palestinienne, qui peut le nier ? Que, pour ce faire, elle se fasse parjure à sa garantie des Accords d'Oslo qui interdisaient toute démarche unilatérale, qui peut le nier ? Que la France stigmatise Israël pour occuper des territoires qui jamais ne furent indépendants, alors qu'elle tolère et bien plus la Turquie occupant Chypre, le Maroc occupant le Sahara occidental, qui peut le nier ? Qu'elle stigmatise Israël au nom des droits de l'homme alors qu'elle est devenue le deuxième marchand d'armes du monde, notamment aux dictatures arabes et qu'elle a reçu avec pompe le dernier dictateur de Cuba qui peut le nier ?

  

 

« Que le sionisme soit devenu le nom des pires choses au mépris de la vérité et de la réalité historique, qui le niera ? »

Que la société française fasse entendre une inimitié ambiante envers Israël, telle qu'elle se répercute dans les médias, les "réseaux sociaux", l'édition, l'académie, qui le niera ? Que cette inimitié ait pour origine le dévoiement de l'information sous la houlette de l'AFP, agence semi-gouvernementale, qui réécrit les événements en faveur des Palestiniens, effaçant et justifiant leurs actes terroristes, qui le niera ? Que ce discours puisse servir d'incitation à la haine des antisémites, qui le niera ? Que, dans des manifestations, on puisse crier "Mort aux Juifs", que dans toute manifestation on retrouve le drapeau de l'OLP, voire du Hamas, qui le niera ? Que des hauts fonctionnaires ou des éditorialistes puissent comparer l'immigration en Israël au départ pour le Djihad en Syrie, qui le niera ? Que nombre de films sur des chaînes publiques ou de livres à grande diffusion puissent réécrire l'histoire juive et celle d'Israël sans que personne ne sourcille, que le judaïsme soit fustigé dans tel et tel magazine pour sa cruauté et sa violence, sans compter la falsification de l'histoire dont il serait le produit, qui le niera ? Que la participation des intellectuels juifs au débat public soit conditionnée par leur dissociation d'avec Israël, Netanyahou, hier Sharon, ou le sionisme en général, qui le niera ? Qu'une pléiade d'intellectuels juifs ont disparu des débats publics, des radios, des télévisions, de la presse, des revues "distinguées" comme par enchantement, qui le niera ? Que leur parole, leurs écrits n'aient plus d'espace où se dire et se tenir, qui le niera ? Qu'un étudiant qui choisisse un doctorat en rapport avec le monde juif - religion, histoire, société, pensée - soit voué à une impasse professionnelle inéluctable du fait de la marque de Caïn que cela représente, qui le niera ? Que des candidats à un poste effacent de leur curriculum vitae leur cursus éventuel dans des institutions juives pour avoir des chances d'obtenir l'emploi, qui le niera ? Que les Juifs soient obligés dans certains quartiers d'éviter de se faire reconnaître comme Juifs pour ne pas risquer d'être battus, qui le niera ? Que, pendant 15 ans, la société et surtout l'Etat aient toléré des actes antisémites en nombre sans les combattre et les condamner qui le niera ? Que les responsables de ces actes n'aient jamais été clairement nommés qui le niera ? Que cette nomination des responsables individuels ait été impossible, voire interdite, sous prétexte d'éviter des amalgames qui le niera ? Que les Juifs aient cessé de voir leurs amis non Juifs pour éviter disputes et fâcheries, qui le niera ? Que les Juifs habitant dans certains quartiers aient dû déménager pour fuir une insécurité manifeste, qui le niera ? Que les Juifs appelant à l'aide contre les antisémites puissent être accusés de "communautarisme", qui le niera ? Que le sionisme soit devenu le nom des pires choses au mépris de la vérité et de la réalité historique qui le niera ?

 Comment peut-on nommer cet état de faits ? Antisionisme d'Etat ? Mâtiné, maintenant, depuis l'UNESCO, d'antijudaïsme.

 

Shmuel Trigano, Professeur des Universités.

 

Pour Actualité Juive

 

Engagement de Manuel Valls tenu: B.D.S et boycott d'Israël interdits par la préfecture du Rhône !

 

Le collectif Palestine 69 voulait manifester en marge d’un match de basket entre Asvel Lyon-Villeurbanne et Maccabi Rishon: le préfet l’interdit !

Engagement tenu: conformément aux engagements qu’il a pris auprès de nous en Février , Mai 2015 et Septembre 2015 et conformément à ses différentes déclarations concernant l’illégalité de B.D.S, notamment en Décembre 2015 devant l’Assemblée Nationale, où il affirmait que l’antisionisme est l’antichambre de l’antisémitisme, le Premier Ministre semble tenir ses engagements,notamment depuis la décision de la Cour de Cassation en date du 20 octobre 2015.

Depuis, en effet,  les préfets ont décidé d’interdire les rassemblements B.D.S et s’engagent dans la poursuite des auteurs de ces délits: à Toulouse, comme à Montpellier et tout récemment à Villeurbanne où un rassemblement était prévu devant l’Astroballe

En effet, les équipes de basket Asvel Lyon-Villeurbanne et Maccabi Rishon se sont rencontrées mercredi  27 janvier à 19h au stade Austroballe.

A l’occasion de cet événement sportif, le Collectif Palestine 69, « collectif de soutien au peuple palestinien », avait demandé l’autorisation de manifester le 27 janvier devant le stade de l’Astroballe.

Or, comme nous l’avons écrit plus haut, cette demande a été interdite par la préfecture du Rhône, rapporte le site Le Progrès.

Selon l’arrêté du préfet Michel Delpuech l’appel au boycott est « un délit constitutif de provocation à la discrimination ».

Pour rendre sa décision, le préfet s’est appuyé sur une décision de la Cour de cassation datant du 20 octobre 2015.

Cet arrêt rendu le 20 octobre dernier vient confirmer une précédente décision de la Cour d’appel de Colmar, estimant que « la provocation à la discrimination ne saurait entrer dans le droit à la liberté d’opinion et d’expression dès lors qu’elle constitue un acte positif de rejet se manifestant par l’incitation à opérer une différence de traitement à l’égard d’une catégorie de personnes, en l’espèce, les producteurs de biens installés en Israël ».

Le préfet a également souligné qu’une telle manifestation pourrait causer des « troubles à l’ordre public » du fait de la proximité de la plus grande communauté juive de l’agglomération.

Le collectif 69 a dénoncé cette décision comme constituant une entrave aux libertés publiques et a indiqué qu’il saisira le tribunal administratif.

D’autre part le collectif a appelé « à manifester contre l’état d’urgence, Samedi 30 janvier 2016, dont on voit bien qu’il devient l’instrument à dessein de basse politique. »

En tous cas, ce qui est certain aujourd’hui c’est que B.D.S. et les associations qui le soutiennent ne sont ni du côté du droit, ni du côte de la République et encore moins du côté des victimes du terrorisme !

Certaines associations, que l’on a jamais vues dans les prétoires, courent aujourd’hui derrière la victoire pour s’en approprier les lauriers ! Certaines feignent même de mettre en place des groupes de travail pour lutter contre B.D.S alors qu’ils étaient aux abonnés absents lorsque nous avons croisé le fer dans ce combat.Ils font parties de ceux qui attendent le résultat pour se placer du côté du vainqueur sans jamais mouiller leur chemise. Il est inutile de les nommer car ils se reconnaitront facilement et ceux qui les connaissent aussi !

Nous devons tous un grand merci au B.N.V.C.A ( membre de la Confédération des Juifs de France et des Amis d’Israël) et à son Président, Sammy GHOZLAN, pour son obstination et à son combat, souvent solitaire, qui nous ont permis d’arriver aux résultats présents et notamment à la décision de la Cour de Cassation.

Nous devons, également, un grand merci aux avocats du B.N.V.C.A, Charles Baccouche et Marc Bensimhon pour leur dévouement et leur ténacité.

Aujourd’hui, le gouvernement semble avoir pris à son compte la lutte contre B.D.S, en l’inscrivant dans son combat contre l’antisémitisme, et partout en France les préfets semblent se mobiliser en ce sens à l’exception notable de Paris où l’on a pu assister, en pleine commémoration des attentats de l’hyper-cacher de Vincennes, à une odieuse mise-en-scène à l’Opéra Garnier de Paris pour boycotter les ballets israéliens.

Cependant nous resterons vigilants jusqu’à ce que disparaisse de notre champ visuel toute présence de B.D.S !!!

Si les aficionados de B.D.S veulent se mobiliser pour les droits de l’homme ils ont fort à faire dans le monde musulman et notamment en Palestine où les droits élémentaires des citoyens sont bafoués quotidiennement par le Hamas ou l’autorité palestinienne et non par les israéliens.

Et ils devraient savoir que le respect des Droits de l’Homme  commence par le respect du droit tout court !!!

 

cjfai.com

 

 

 

 

Aux   larmes, citoyens…

 

Les attentats de Paris ont donc été commis par des français et des belges! En creusant davantage, on apprend que ce sont des assaillants, des djihadistes ou des salafistes. En fait ils sont des radicalisés. Une analyse plus poussée permet de découvrir qu’ils sont du Daesh ou d’al keida.

On respire ! On risquait de croire que ce sont des musulmans inspirés par le coran.

Ce qui n’est certainement pas le cas puisque le mot musulman n’a été prononcé ni par le Président Hollande ni bien entendu par ses ministres.

On ne peut que s’interroger quant à la compétence du ministre de l’intérieur Cazeneuve. A la suite des attentats du hyper-cacher, les forces de l’ordre ont été placées pour surveiller les écoles juives, les synagogues et...  bien entendu les mosquées qui se trouvaient en grand danger!

Les signes avant-coureurs du Bataclan ne manquaient pas. Il y  eut  Toulouse  et le meurtre d’enfants juifs et de militaires. Ce n’est que maintenant que nous apprenons l’existence d’un «émir blanc»  qui vient d’être  perquisitionné car il fut le mentor «spirituel» de l’assassin Merah et d’autres terroristes.

Et puis il y a eu une décapitation, un arabe qui se tire tout seul dans le pied, l’attaque du Thalys stoppée in extremis par de courageux soldats américains. Sans compter les innombrables insultes et agressions antisémites qui seraient toutes le fait de «désaxés».

Les terroristes du 13 novembre  à Paris n’étaient pas des «loups solitaires», mais un réel réseau impliquant plus de vingt personnes. Où étaient les services de renseignement français pour ne pas voir sous leur nez ces préparatifs criminels.

La raison en est simple. Quand un ministre de l’intérieur déclare qu’il aurait volontiers défilé avec les manifestants «pro palestiniens» et que «ce n’est pas un délit de prôner le djihad» (Rtl du 5 novembre 2014) pendant que la ministre de la justice déclare qu’il faut comprendre les jeunes qui partent en Syrie, et que la ministre de l’Education nationale propose l’enseignement de l’islam dans les écoles, il n’y a aucune raison de s’interroger sur le climat délétère régnant en France.

Quand on est incapable de désigner l’ennemi par son nom, on ne peut le combattre ni le vaincre.

Tant que les attentats ne concernaient que les Juifs,   c’était triste mais compréhensible. Désormais l’attaque porte sur tout le monde.

A Saint Denis, les policiers français ont tiré plus de cinq mille balles contre deux ou trois assassins retranchés dans une seule chambre avec vue sur la rue et des snipers sur les toits pouvant abattre tout ce qui bouge. 

Il est vrai qu’en Israël un tir contre un terroriste ne nécessite qu’une seule balle. Il est vrai aussi que pour extraire un assassin embusqué dans  l’hôpital au cœur de Gaza, un simple commando israélien suffit.

Le porte-avions Charles de Gaulle a été dépêché sur le théâtre des opérations afin de tripler la puissance de feu de la France. Il n’y a pas de journalistes de l’AFP et les bombardements causant des victimes civiles ne sont responsables que de «dommages collatéraux» éminemment justifiés.

A Tel Aviv, à Jérusalem et dans tout le pays d’Israël, les manifestations de soutien et de solidarité avec la France se sont multipliées. Nous sommes malheureusement trop bien informés de ce que signifient les attentats arabes. La perte d’êtres chers, les familles détruites, les blessés et la douleur des amis, nous connaissons. Israël est en butte à ce même terrorisme avec ces nouvelles 23  victimes  qui ont juste eu le tort de se retrouver sur la route de ces meurtriers arabes assoiffés de sang.

Nous pensions que la France officielle aurait compris et adressé ses condoléances au peuple juif et sa condamnation de ce terrorisme.

Le silence de la France fut fracassant.

Il semblerait que non seulement le mot d’ordre est de rejeter tout amalgame concernant le terrorisme musulman mais également de refuser tout amalgame entre victimes civiles françaises et juives surtout israéliennes.

Obama et Hollande ont décidé de consolider une coalition de 63 pays  pour  détruire la vingtaine de milliers de terroristes du Daesh.

La tournée de Hollande pour supplier les puissances de lui accorder leur aide financière ou militaire sont lamentables.

Depuis les attentats à Paris, on entend les martiales déclarations françaises d’intensification des frappes et de destruction du Daesh. Mais alors, cela signifierait-il que jusqu’à présent ce n’étaient que des simulacres de bombardements,  et que la seule poudre qui était utilisée dans cette guerre n’était que la poudre aux yeux ?

Les propos ignares d’un Fillon demandant à adjoindre le Hezbollah à la «coalition» sont le summum de la reddition occidentale devant le terrorisme arabe.

Les paroles apaisantes déversées par citernes pour empêcher le peuple de France de crier sa douleur  et sa colère, pour  continuer à affabuler sur cette religion de «paix et de tolérance», signent l’échec de la campagne militaire.

Pour détruire le terrorisme musulman, il faut d’abord réinvestir les Saint-Denis et les Molenbeek. 

Hollande avait promis une riposte «impitoyable». Pour l’instant, il est surtout pitoyable.

 

 

Jacques Kupfer

 

Des Palestiniens massacrés par des musulmans, ça n’intéresse personne

Jean-Patrick Grumberg

 

Bashar al-Assad laisse le Califat islamique massacrer les Palestiniens de Syrie: 1000 Palestiniens du quartier de Yarmouk ont été abattus par des snipers, décapités ou exécutés en quatre jours, des femmes et des humanitaires kidnappés..

Près de 500 Palestiniens étaient déjà morts de faim en décembre 2012 quand Assad avaient bloqué le camp de Yarmouk.

1500 Palestiniens morts à Yarmouk en 3 ans !

1500 Palestiniens !!!!

(Et) Mais sans angle pour attaquer Israël, ça ne mérite pas (l’attention des) de réaction, confirmant que les Palestiniens ne servent que s’ils peuvent être utilisés contre Israël.

Personne ne réagit, quand des Palestiniens, des Noirs ou des chrétiens sont massacrés par des musulmans. Pourquoi ?

 

 

Pour la même raison que la RATP voulait faire sauter la référence au massacre des chrétiens d’Orient,

Que les médias ne disent pas que les 220 jeunes Nigérianes kidnappées le 14 avril 2014 par les islamistes de Boko Haram, et les 147 étudiants kényans massacrés le 2 avril 2015 par les islamistes Chebab, étaient chrétiens,

Que la Turquie hurle à l’islamophobie quand le Pape se permet d’évoquer le génocide des Arméniens (chrétiens),

Que Mme TAUBIRA limite sa loi à l’esclavage passé des Noirs par les Blancs américains sans parler des 20 millions d’esclaves actuels dans les pays arabo-musulmans,

Que nos enfants étudient en cours d’anglais l’apartheid en Afrique du Sud et la ségrégation aux USA,

 

 

Parce que chacun a son rôle : les juifs sont des occupants génocidaires, les Blancs chrétiens des colonisateurs et les musulmans des victimes. Un point c’est tout.

A Yarmouk, ceux qui arrivent à tromper l’horreur en faisant de l’humour disent que la situation avec les juifs était moins dure qu’avec les arabes, alors que la nourriture manque, que les snipers sont postés dans chaque rue, et qu’aller chercher des victuailles pour nourrir sa famille est comme jouer à la roulette russe avec sa vie, explique le jeune Mohammed, 28 ans, père de 3 enfants en bas âge, qui explique que le camp est passé de l’état de refuge à celui de prison où il est certain de trouver la mort – soit de faim, soit d’une balle, avec toute sa famille.

Des milliers de réfugiés qui n’ont pas voulu fuir, ne sachant où aller ou ne voulant pas dormir dans les rues, sont maintenant bloqués dans le camp, où l’Etat islamique a commencé à décapiter et tuer.

Combats dans le camp de Yarmouk:

Certains se disent que le cauchemar qu’ils ont vécu, assiégés par les troupes du président Assad et coupés de vivres et d’eau pendant des semaines en décembre 2012, où plusieurs centaines d’enfants, de malades et de vieillards sont morts de faim et de soif, était préférable à la situation actuelle, avec l’Etat islamique.

 

« L’un des sièges les plus terrible et destructeur du 21e siècle »

 

Les quelques milliers de Palestiniens coincés dans le camp vivent ce que Louisa Loveluck et Magdy Samaan, depuis le Caire, et Ruth Sherlock à Beyrouth, décrivent pour The Telegraph comme « l’un des sièges les plus terrible et destructeur du 21e siècle ». Et pourtant, les médias français restent silencieux.

Etrangement, les membres du Groupe d’amitié France-Palestine de l’Assemblée Nationale, eux si bruyants dans leurs dénonciations d’Israël, affichent une indifférence déconcertante face au sort des Palestiniens, mille fois plus tragique qu’à Gaza.

Ni Jean-Marc Nesme, ni Daniel Garrigue, ni Christian Hutin, ni François Lamy, ni Jean-Paul Lecoq, ni Didier Mathus, ni Étienne Pinte, ni Jean-Claude Sandrier, ni Sylvie Andrieux, ni François Asensi, ni Jean-Marc Ayrault, ni Jean Bardet, ni Jacques Bascou, ni Patrick Beaudouin, ni Jean-Louis Bianco, ni Marcel Bonnot, ni Jean-Michel Boucheron, ni Chantal Bourragué, ni Patrick Braouezec, ni Jean-Pierre Brard, ni Mme Marie-George Buffet, ni André Chassaigne, ni Gilles Cocquempot, ni Pierre Cohen, ni Frédéric Cuvillier, ni Guy Delcourt, ni Jean-Pierre Dufau, ni Daniel Garrigue, ni Hervé Gaymard, ni André Gerin, ni Pierre Gosnat, ni Marc Goua, ni Jean-Pierre Grand, ni Jean-Claude Guibal, ni Christian Hutin, ni Michel Issindou, ni Didier Julia, ni François Lamy, ni Jean Lassalle, ni Jean-Paul Lecoq, ni Robert Lecou, ni Bruno Le Roux, ni François Loncle, ni Lionnel Luca, ni Jean Mallot, ni Jean-René Marsac, ni Patrice Martin-Lalande, ni Didier Mathus, ni Jean-Marc Nesme, ni Christian Paul, ni Étienne Pinte, ni Éric Raoult, ni Jean-Luc Reitzer, ni Simon Renucci, ni Gwendal Rouillard, ni Jean-Claude Sandrier, ni Pascal Terrasse, ni Manuel Valls, ni Alain Vidalies, ni Michel Voisin, ni Philippe Jabaud, tous membres du groupe d’amitié France-Palestine ont montré la moindre compassion pour les Palestiniens massacrés, asphyxiés, vivant dans des conditions inhumaines à Yarmouk.

« Inhumain », « prison à ciel ouvert », « conditions humanitaire intolérables », « génocide », « nettoyage ethnique », « violation du droit international », « crime contre l’humanité », « blocus », semblent des mots exclusivement réservés pour Gaza et le conflit entre Palestiniens et Israël, et tant pis s’ils meurent à Yarmouk.

Je dénonce cette indifférence mais j’aurais pu m’en douter : cela fait deux ans que le camp palestinien de Yarmouk subit le terrible blocus du gouvernement syrien, et ces grandes âmes qui n’ont aucune honte à afficher publiquement leur humanisme à géométrie variable, n’ont jamais protesté.

Disons que le cauchemar humanitaire s’est tellement aggravé depuis l’invasion par l’Etat islamique, que je pensais, naïf que je suis, que les amitiés palestiniennes allaient se manifester.

Je me trompais. Ce ne sont que des amitiés de façade, et il aura fallu ce martyre des Palestiniens pour révéler la violence du double standard et de l’indifférence des médias et des pro-palestiniens.

Avant la guerre civile en Syrie, environ 180 000 palestiniens vivaient à Yarmouk. Il sont moins de 18 000. Et ceux qui restent sont les plus démunis, les plus faibles, qui n’avaient ni la force, ni les moyens de partir.

Des centaines de Palestiniens morts de maladie et de faim

Près de 500 sont morts de malnutrition et de déshydratation lorsque Bashar al-Assad a bloqué le camp en décembre 2012. Des familles vivent de racines et d’herbe. Et pourtant, la situation s’est encore dégradée depuis le siège de l’Etat islamique, commencé il y a deux semaines, et maintenant étendu à presque la totalité du camp.

 

« J’ai couru entre les bombes et les tirs des snipers pour nourrir mes enfants »

 

« Aujourd’hui, j’ai couru entre les bombes et les tirs des snipers pour nourrir mes enfants », a expliqué ce résident à Ynet. « Vous devez comprendre, mon voisin est allé chercher de la nourriture, un sniper lui a tiré dessus, il est mort. Aujourd’hui nous l’avons enterré. C’est comme ça que nous vivons : si vous voulez nourrir vos enfants, vous devez prendre votre linceul avec vous. Il y a des snipers dans chaque rue, vous n’êtes à l’abri nulle part. »

Les Palestiniens sont pris au piège

Les palestiniens sont pris au piège. D’un coté, l’aviation de Assad lâche des barils de bombe sur la région pour éliminer les rebelles. Selon l’Organisation de la société civile palestinienne en Syrie, la zone du et autour du camp a été touchée par 23 barils de bombes et six attaques aériennes depuis samedi 4 avril pour tenter de détruire les positions des rebelles syriens et des combattants palestiniens. De l’autre, ils sont au milieu des violents combats entre groupes rebelles ennemis, notamment al Nustra et al Qaïda, et maintenant ils affrontent l’Etat islamique.

Selon l’Autorité palestinienne, 2 000 personnes ont réussi à fuir le camp par une brèche, dimanche dernier, tandis que des dizaines sont tués et décapités.

La région de Damas est d’une grande importance symbolique pour l’Etat islamique, car elle est mentionnée dans la tradition islamique d’où le groupe islamique tire son inspiration et ses commandements. Pour les Palestiniens de Yarmouk, c’est l’enfer absolu.

Attentats de l’Etat islamique à Gaza

Au nord de Gaza, samedi 4 avril, une bombe artisanale a explosé près d’une mosquée, sans faire de victime, d’après l’agence d’information turque Anatalia, suite à quoi un membre de l’Etat islamique a été arrêté.

Des sources palestiniennes ont déclaré à un journaliste arabe israélien du quotidien israélien Maariv que « depuis le début de l’année, il y a eu plusieurs incidents, des explosions et des échanges de tirs, principalement entre le Hamas et des habitants de Gaza soupçonnés d’avoir fait allégeance à l’Etat islamique. »

De plus, mi-mars, le porte parole du ministère de l’intérieur du gouvernement du Hamas à Gaza a dénoncé que les forces de Mahmoud Abbas tentent de profiter de la situation pour semer le chaos à Gaza, déclenchant des explosions de voitures et des tirs.

A Yarmouk, des militants de l’Etat islamique ont décapité deux dirigeants du Hamas

Une délégation de l’Autorité palestinienne a prévu de se rendre à Damas afin de chercher une solution pour la sauvegarde des résidents du camp de Yarmouk, après que l’Etat islamique a annoncé avoir décapité au moins deux dirigeants du Hamas.

A l’intérieur du camp, les forces palestiniennes – alliées au Hamas – sont maintenant encerclées par l’Etat islamique. Lundi, l’Etat islamique a publié une vidéo montrant le moment où il a pris possession du camp.

Un travailleur humanitaire syrien a fait passer au Telegraph la photo de Mohammed, 19 ans, qui a été blessé au ventre et à la jambe. Il a expliqué au quotidien « qu’il n’a quelques jours à vivre si on ne trouve pas de médicaments ».

« Il a été atteint par un combattant de l’Etat islamique il y a un an et est devenu paralysé d’une jambe, » explique l’aide humanitaire sous couvert d’anonymat. « Le frère de Mohammed est venu me voir, et m’a supplié de l’aider. Je lui ai donné de la nourriture et les médicaments que j’ai pu trouver, car même ici nous n’avons presque rien. »

Un autre palestinien, toujours sous condition que son identité ne soit pas révélée, a expliqué au Telegraph que « la situation est désespérée : il n’y a pas rien à manger, pas d’eau, aucun soins médicaux. Les docteurs ont tous quitté le camp », et aucun convoi humanitaire n’a pu entrer dans le camp depuis décembre.

Chris Gunness, le porte parole de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, a décrit la situation comme « au delà de l’inhumain ». Et cependant aucun média, aucun intellectuel, aucun diplomate, aucune condamnation de l’ONU ne se font entendre, un contraste à peine croyable, comparé aux véhémentes dénonciations d’Israël dès qu’un incident entre Palestiniens et Israéliens éclate.

« C’est un affront de l’humanité toute entière, » a ajouté Gunness, qui a demandé à la communauté internationale de faire pression pour que l’aide humanitaire puisse pénétrer dans le camp.

Le conseil de sécurité de l’ONU a finalement décidé de convoquer une réunion d’urgence, lundi 6 avril, pour évoquer Yarmouk. Le chef de la diplomation pour les réfugiés palestiniens à l’ONU, Pierre Krahenbuhl, a décrit la situation à Yarmouk de « complètement catastrophique », et les médias restent silencieux, car ils ne peuvent accuser Israël, qui est prudemment resté en dehors du conflit.

Le sort des Israéliens serait infiniment moins confortable si Isaac Herzog, le candidat centre gauche à l’élection législative qui a perdu face au premier ministre sortant Benjamin Netanyahou, avait été élu.

L’an dernier, Herzog avait déclaré qu’il fallait se rapprocher des rebelles syriens, car ils auraient « exprimé de la sympathie pour Israël ». Cet aveuglement angélique typiquement gauchiste aurait servi de prétexte aux médias pour projeter Israël au cœur d’un conflit qui n’est pas le sien, et l’accuser, comme pour Sabra et Chatila, de crimes qu’il n’a pas commis.

Si Israël était, même de loin, impliqué dans le drame des Palestiniens de Yarmouk, Le Monde et le Nouvel Observateur dénonceraient un « massacre inhumain, d’une ampleur sans précédent ». Là, pas un entrefilet.

Les faux culs dont le cœur chavire lorsqu’un Palestinien – qui n’est jamais un terroriste – est éliminé par Israël, les François Cluzet, Eric Cantona, Edwy Plenel, Mia Farrow, ou encore Jacques Weber, l’obsédé anti-israélien, n’ont pas trouvé le temps de dénoncer l’horreur que vivent les Palestiniens de Yarmouk. Pour Gaza, ils trouvent toujours les mots pour dénoncer « l’horreur », tandis que les Gazaouis font leurs courses ou sont à la plage.

 

 

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz info

Procès historique : Israël est l'occupant légal de la "Cisjordanie", dit la cour d'appel de Versailles.


Un procès historique rendu par la Cour d’appel de Versailles dont les ennemis d’Israël ne se sont pas empressé de mentionner l’existence a reconnu que les Palestiniens n’ont aucun droit – au sens du droit international – sur la Judée Samarie. Israël, au contraire est légitimement en droit d’occuper ces terres.

Dans les années 90, Israël a fait un appel d’offre pour la construction du Tramway de Jérusalem, qui a été remporté par les entreprises françaises Veolia et Alstom. Le Tramway a été mis en service en 2011, et traverse la ville jusqu’à Jérusalem Est et les « territoires occupés » (nous reviendrons plus bas sur cette expression)

L’OLP a déposé plainte auprès du tribunal de Grande instance de Versailles contre Alstom et Véolia, car selon elle, la construction du tramway est illégale : l’ONU, l’UE, de nombreuses ONG et gouvernements considèrent qu’Israël occupe illégalement les « territoires palestiniens ».


Rechercher les textes de droit international pour établir les droits des Palestiniens et des Israéliens


Pour dire si la construction du Tramway est légale, le tribunal a été amené à rechercher les textes de droit international, et il a dû établir les droits des Palestiniens et des Israéliens.

A ma connaissance, c’est la première fois qu’un tribunal non israélien est amené à trancher en droit sur les colonies de Cisjordanie.

Un procès historique : le premier depuis la déclaration de l’Etat d’Israël en 1948

C’est la première fois depuis l’établissement de l’Etat d’Israël en 1948 qu’un tribunal indépendant, non israélien, est amené à établir le statut légal des territoires au regard du droit international, au delà des déclarations des uns et des autres.

Un an après, les conclusions du tribunal de Versailles sont aussi retentissantes que le silence par lequel elles ont été accueillies dans les médias : le tribunal de Versailles a considéré qu’Israël a des droits, que la construction du Tramway est légale, et il n’a pas suivi le raisonnement des Palestiniens.

Les arguments palestiniens

1-L’OLP dénonce la déportation de la population palestinienne, la destruction des biens immobiliers en violation des règlement internationaux. S’appuyant sur les Conventions de Genève et de La Haye et sur les résolutions de l’ONU, elle considère que l’Etat d’Israël occupe illégalement le territoire palestinien et qu’il poursuit une colonisation juive illégale. La construction du tramway est ainsi elle-même illicite.



l’article 49 de la IVème Convention de Genève du 12 août 1949 qui dit que « la puissance occupante ne pourra procéder à la déportation ou transfert d’une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé par elle ».

l’article 53, qui précise « qu’il est interdit à la puissance occupante de détruire les biens mobiliers ou immobiliers appartenant individuellement ou collectivement à des personnes privées, à l’Etat ou à des collectivités publiques et des organisations sociales ou coopératives sauf dans les cas où ces destructions seraient rendues absolument nécessaires par les opérations militaires ».



2-L’OLP ajoute que la construction du Tramway a entraîné des destructions de bâtiments et de maisons palestiniennes, la quasi suppression de la nationale 60, vitale pour les Palestiniens et leurs marchandises, et de nombreuses expropriations tout aussi illégales. Ainsi, plusieurs articles du Règlement annexé à la IVème Convention de La Haye du 18 octobre 1907 ont été violés :



l’article 23(g) qui interdit de « détruire ou saisir les propriétés ennemies sauf les cas où ces destructions ou ces saisies seraient impérieusement commandées par les nécessités de la guerre »

l’article 27 selon lequel « dans les sièges et bombardements, toutes les mesures nécessaires doivent être prises pour épargner autant que possible les édifices consacrés aux cultes, aux arts , aux sciences et à la bienfaisance, les monuments historiques, les hôpitaux … »

l’article 46 qui précise que « la propriété privée ne peut pas être confisquée ».



3-Enfin, l’OLP affirme qu’Israël viole les dispositions relatives à la « protection des biens culturels »prévues par l’article 4 la Convention de La Haye du 14 mai 1954, l’article 27 du règlement de La Haye de 1907, l’article 5 de la Convention IX de la Haye de 1907, et l’article 53 du protocole additionnel n° 1 aux Conventions de Genève.

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La Cour d’appel de Versailles ne nie pas l’occupation, mais elle affirme qu’Israël a des droits

Reprenant les mêmes textes, la Cour d’appel considère qu’Israël doit assurer l’ordre et la vie publique en Cisjordanie.

L’article 43 de la 4ème Convention de La Haye de 1907, dit la cour, stipule que « l’autorité du pouvoir légal ayant passé de fait entre les mains de l’occupant, celui-ci prendra toutes les mesures qui dépendent de lui en vue de rétablir et d’assurer, autant qu’il est possible, l’ordre et la vie publics en respectant, sauf empêchement absolu, les lois en vigueur dans le pays ».

L’occupation ne viole aucune loi internationale


l’Autorité palestinienne interprète mal les textes, ils ne s’appliquent pas à l’occupation


La Cour explique ensuite que l’Autorité palestinienne interprète mal les textes et qu’ils ne s’appliquent pas à l’occupation :



Premièrement, l’ensemble des textes internationaux avancés par l’OLP sont des actes signés entre Etats, et les obligations ou interdictions qu’ils contiennent s’adressent aux Etats. Ni l’Autorité palestinienne, ni l’OLP n’étant des Etats, aucun de ces textes ne s’appliquent.

Deuxièmement, dit la Cour, ces textes s’imposent à ceux qui les ont signés, les « parties contractantes ». Mais ni l’OLP, ni l’Autorité Palestinienne n’ont jamais signé ces textes.



La propagande n’est pas du droit international

Un rien irritée, la Cour précise que le droit « ne peut reposer sur la seule appréciation [par l’OLP] d’une situation politique ou sociale. »

Le droit humanitaire n’est pas violé

L’OLP invoque la violation du droit humanitaire contenu dans les conventions de Genève et de La Haye.



Mais d’une part, la Cour d’appel explique que les conventions internationales s’appliquent entre Etat, et l’OLP n’est pas un Etat : « la Cour Internationale de Justice a indiqué qu’elles [les conventions] ne contiennent que des obligations à la charge des Etats, et que la faculté pour les individus de s’en prévaloir n’était pas évoquée »

Puis elle indique que seules les parties contractantes sont liées par les conventions internationales, et ni l’OLP ni l’Autorité Palestiniennes ne les ont jamais signées.

Et de toutes façons, conclut la cour, l’OLP se trompe de texte, car la convention de La Haye s’applique en cas de bombardement. Et… « Jérusalem n’est pas bombardée ».



L’OLP et les Palestiniens déboutés

En conclusion dit la Cour d’Appel, l’OLP ne peut invoquer aucune de ces conventions internationales. « Ces normes internationales conventionnelles »ne donnent pas au « peuple palestinien que l’OLP indique représenter, le droit de les invoquer devant une juridiction. »

La Cour d’appel a donc condamné l’AFPS (Association France Palestine Solidarité) et l’OLP à verser 30 000 euros à Alstom, 30 000 euros à Alstom Transport, et 30 000 euros à Veolia Transport.

Ni l’OLP, ni l’Autorité Palestinienne, ni AFPS ne se sont pourvus en cassation, et le jugement est devenu définitif. C’est la première fois qu’un tribunal dénonce les arguments juridiques palestiniens pour soutenir que l’occupation de la Judée Samarie est illégale.

Malgré ce jugement historique, qui confirme les droits israéliens sur la région selon le droit international,



L’Union européenne continue à demander que les produits fabriqués en Judée Samarie soient marqués.

BDS (boycott désinvestissement sanction) continue de dénoncer l’occupation illégale de la Cisjordanie par Israël,

De nombreuses universités appellent au boycott d’Israël.

Des « experts » comme Pascal Boniface publient des livres qui critiquent la colonisation,

Et l’association britannique des architectes (RIBA) a voté l’exclusion de l’association israélienne des architectes parce qu’ils ne dénoncent pas les constructions illégales dans la West Bank.

L’Assemblée nationale et le Sénat votent en contradiction d’un décision de justice française pour la création d’un Etat palestinien sur une terre où les Palestiniens n’ont aucun droit.



Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info


Origine d'un peuple, Qui sont les Palestiniens?


Les Palestiniens sont les plus récent de tous les peuples sur la face de la terre, et a commencé à exister en une seule journée, il est unique dans toute l'histoire de l'humanité,

Walid Shoebat, un ancien terroriste de l'OLP qui reconnaît le mensonge, aujourd'hui il lutte pour la vérité et se bat contre cette désinformation.


"Pourquoi est-ce que le 4 Juin 1967, j'ai été un Jordanien et en une nuit, je suis devenu un Palestinien?"


"Les enseignements de la destruction d'Israël étaient une partie précise du programme, mais nous nous considérons jordanienne jusqu'à ce que les Juifs retournent à Jérusalem. Puis tout d'un coup nous étions Palestiniens, ils ont enlevé les étoiles du drapeau jordanien et tout à coup nous avons eu un drapeau palestinien ".


«depuis j'ai finalement réalisé les mensonges et les mythes dans lesquels j'ai été enseigné.Aujourd’hui il est de mon devoir en tant que personne juste de m’exprimer."


"En effet, il n'y a pas eu de peuple palestinien, ou une culture palestinienne, ou une langue palestinienne, ou une histoire de la Palestine."

Il n'y a jamais eu d'Etat palestinien ni aucune découverte archéologique palestinienne, ni de pièces de monnaie. Les actuels "Palestiniens" sont un peuple arabe, avec la culture arabe, la langue arabe et de l'histoire arabe. Ils ont été appelés Jordaniens stratagème britannique, comme il n'y a jamais eu aussi de personnes connues comme «Jordaniens», et après la guerre de 6 jours dans lequel Israël a totalement vaincu la coalition de neuf pays arabes et a pris possession légitime de la Judée et de la Samarie,( poussés entre par l'Egypte ) les habitants arabe de ces régions ont décidé de créer une cinquième colonne, la création du peuple palestinien.


Pour justifier leur demande d'occuper la Judée, les dirigeants palestiniens ont affirmé deux lignées ( inexistante) contradictoires des anciens peuples qui ont habité la Terre promise: les Cananéens et les Philistins.


Les Cananéens sont historiquement reconnus comme les premiers habitants de la Terre, avant que les Hébreux s'y installe. Le nom géographique correcte de la terre de Judée est Canaan, pas la «Palestine». Ils ont été composés par différentes tribus qui peuvent être distingués en deux groupes principaux: le Nord Cananéens et le Sud ou Montagne Cananéens.


Les Cananéens du Nord se sont installés le long de la côte de la mer Méditerranée à partir du côté sud-est du golfe d'Iskenderun pour les proximités du golfe de Haïfa. Leurs principales villes étaient Tzur, Sidon, Guebal (Byblos), Arvad, Ugarit, et sont mieux connus dans l'histoire par leurs noms grecs Phéniciens, mais ils se sont appelés "Kana'ana" ou "Kinachnu". Ils n'ont pas constitué de royaume unifié, mais ont été organisées dans des villes autonomes. Leur langue a été adoptée de leurs voisins sémitiques, les Syriens, et a été étroitement liée à l'hébreu (non arabe).


Les Phéniciens et les Israélites n'avaient pas besoin d'interprètes pour se comprendre MUTUELLEMENT. Ils ont suivi le même destin que Israël et sont tombés sous la domination assyrienne, babylonienne puis, les persans, les macédoniens, seleucians et romains. Tout au long de l'histoire, les phéniciens se marièrent avec les différents peuples.

Au cours de l'expansion islamique ils étaient arabisés, mais, jamais complètement assimilée, et leur état actuel est le Liban, considéré à tort comme un pays «arabe», une étiquette que le peuple libanais rejettent. La seule mention du terme arabe dans la constitution libanaise se réfère à la langue officielle de l'Etat qui ne veut pas dire que le peuple libanais sont des Arabes de la même manière. La langue officielle des États-Unis est l'anglais.


Les soi-disant Palestiniens ne sont pas libanais (bien que certains d'entre eux venaient du Liban syrien occupé), donc ils ne sont pas les Phéniciens (Nord Cananéens), ils sont méprisés au Liban comme «réfugiés».


Les Cananéens du Sud habitaient dans la région des montagnes du Golan vers le sud, sur les deux côtés du Jourdain (Joran) et le long de la côte méditerranéenne du golfe de Haïfa à Yafo. Ils ont été composés par diverses tribus de différentes origines: outre le bon Cananéens (Phéniciens). Amorites, les Hittites et les peuples hurriens comme les Yevusites, Hivvites et Horites, chacun d'entre eux n'a jamais constitué un état organisé unifiée mais s'est maintenu dans le système d'alliance tribale.


Lorsque les premiers Hébreux sont arrivés en Canaan ils ont partagé la terre, mais ne se marièrent pas en raison d'une interdiction de l'exogamie. Néanmoins, onze des douze tribus inter mariés avec une femme cananéenne (Joseph a épousé une Egyptienne), et depuis lors, les tribus ont commencé à se mélanger avec les habitants locaux.


Après l'Exode, lorsque les Israélites ont conquis la terre, il y avait des guerres entre les Cananéens tout au long de la période de (juges). Cananéens sont rarement mentionnés au cours de la période du roi, le plus souvent en référence à leurs coutumes païennes introduites parmi les Israélites, comme une bonne partie a déjà été assimilée.


Par conséquent, les seules personnes qui peuvent justifier d'une lignée avec les anciens Cananéens sont les Judéens, et non pas les Palestiniens, comme les Cananéens n'existait pas plus longtemps après la 8e siècle avant notre ère.


C'est à partir de l'expression «Philistins» que le nom «Palestiniens» a été pris, et la seule similitude entre les deux, c'est qu'ils sont tous les deux envahisseurs venus de terres lointaines. C'est précisément le sens de leur nom, ce n'est pas une dénomination ethnique, mais un adjectif. Peleshet, du verbe "pelesh», «diviseurs», «pénétrateurs» ou «envahisseurs».


Les Philistins étaient une confédération de peuples non-sémitiques en provenance de la Crète, les îles de la mer Égée et l'Asie Mineure aussi connu comme les peuples de la mer. Les principales tribus étaient Tzekelesh, Shardana, Akhaiusha, Danauna, Tzakara, Masa ou Méchouech, Lukki, Dardana, Tursha, Keshesh ou Karkisha, Labu et Irven.

Donc si les palestiniens sont vraiment descendants de philistin alors leur patrie est l'île de Créte et non pas la Judée samarie.

La patrie d'origine du groupe qui a gouverné le Philistin fédération, à savoir la "Pelesati", était l'île de Crète. Lorsque la civilisation minoenne s'est effondré, aussi la culture minoenne de Crète a disparu, comme des envahisseurs de la Grèce ont pris le contrôle de l'île. Ces anciens Crétois sont arrivés au pays de Canaan du sud et étaient connus comme "Pelestim" et "Keretim" par les Hébreux et Cananéens. Leur premier établissement semble avoir été la bande de Gaza, dont le nom original était «Minoah", une référence claire au royaume Minoic tombé. Ils ont également envahi l'Egypte et ont été défaits par Pharaon Ramose 3 au 12ème siècle avant notre ère. Philistin a été organisée en cités-états, étant le plus important de la Pentepolis: Gaza, Ashdod, Ashkelon, Gath et Ekron. Leur territoire était proche de la côte méditerranéenne, un peu plus long et plus large que l'actuelle "bande de Gaza" pas tout Juda, ils n'ont jamais atteint Hébron, Jérusalem ou Jericho.Those peuples de la mer qui a envahi l'Egypte ont été expulsés vers d'autres pays méditerranéens et n'a pas évolué dans tous les peuples arabes, mais disparu en tant que groupes distincts à l'époque romaine. Ceux qui habitent au pays de Canaan furent vaincus par le roi David et après cette période, ils ont disparu de l'histoire, ils ne sont plus mentionnées depuis le retour des exilés de Judée de Babylone.


Il n'y a pas une seule personne dans le monde qui peut être en mesure de prouver la lignée des Philistins, et si les Palestiniens sont vraiment Philistin, leur vraie patrie serait l'île de Crète, pas Judée Samarie.


Alors, pourquoi est Judée maintenant appelé Palestine?


Dans le 2e siècle de notre ère, la dernière guerre de la Judée contre l'Empire romain a pris fin avec l'événement bien connu du siège de Massada. Le terrain où ces choses sont arrivées jusque-là était la province connue sous le nom de Judée, et il n'y a aucune mention d'un lieu appelé «Palestine» avant cette date. L'empereur romain Hadrien était complètement contrarié avec la nation de Juda et voulait effacer le nom de Juda de la face de la terre de sorte qu'il n'y aurait pas de mémoire du pays qui appartenait à ce peuple de rebelles. Il a décidé de remplacer la dénomination de cette province romaine et recours à l'histoire ancienne afin de trouver un nom qui peut paraître approprié, et a découvert que tout un peuple éteints qui était inconnu à l'époque romaine, appelés «Philistins». Par conséquent, selon l'orthographe latine, il a inventé le nouveau nom "Palaestina", un nom qui serait aussi odieux. Il l'a fait avec le but explicite d'effacer toute trace de l'histoire de Judée. En fait, le nom "Falastin" que les Arabes d'usage aujourd'hui pour la «Palestine» n'est pas un nom arabe, mais a adopté et adapté du Palaestina latine.


Comment un peuple arabe peuvent avoir un nom occidental au lieu d'un dans leur propre langue?


Parce que l'utilisation de palestinienne pour un groupe arabe est seulement une création politique moderne sans fondement historique ou ethnique.


-Joseph Farah, "Mythes du Moyen-Orient" -

"Il n'a jamais été un pays connu comme la Palestine régie par les Palestiniens. Palestiniens sont des Arabes, impossible à distinguer de Jordaniens, syrienne, irakienne, etc Gardez à l'esprit que les Arabes contrôlent 99,9 pour cent des terres du Moyen-Orient. Israël représente un dixième de un pour cent de la masse terrestre. Mais c'est trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c'est finalement ce que les combats en Israël est aujourd'hui ... peu importe combien de concessions de terres les Israéliens font, il ne sera jamais assez ".


-Auni Vey Abdul-Hadi, chef arabe syrienne auprès de la Commission britannique Peel, 1937

"Il n'y a pas un tel pays comme la Palestine. La Palestine est un terme inventé par le sioniste. Il n'y a pas la Palestine dans la Bible. Notre pays a été pendant des siècles une partie de la Syrie. Palestine nous est étranger.


-Professeur Philip Hitti, historien arabe, née en 1946

"Il n'y a pas une telle chose comme la Palestine dans l'histoire, absolument pas."


-Representant De l'Arabie saoudite à l'Organisation des Nations Unies 1956-,

"Il est de notoriété publique que la Palestine n'est rien d'autre sud de la Syrie."


En ce qui concerne la Terre Sainte, le président de la délégation syrienne à la Conférence de paix de Paris en Février 1919, a déclaré:

"La seule domination arabe depuis la conquête en 655 CE a duré à peine, en tant que tels, 22 ans."


- Zouheir Muhsin, chef du département de la fin militaire de l'OLP et membre de son Conseil exécutif (le quotidien néerlandais Trouw, Mars 1977) -

"Il n'y a pas de différences entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et les Libanais. Nous faisons tous partie d'une nation. Ce n'est que pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identité palestinienne .... oui, l'existence d'une identité palestinienne distincte sert uniquement à des fins tactiques. La création d'un Etat palestinien est un nouvel outil dans la bataille continue contre Israël ".


-Syrian Dictateur Hafez el-Assad au chef de l'OLP Yasser Arafat-

"Vous ne représentez pas la Palestine autant que nous le faisons. Ne jamais oublier ce seul point: Il n'y a pas une telle chose comme un peuple palestinien, il n'existe aucune entité palestinienne, il n'y a que la Syrie. Vous êtes une partie intégrante du peuple syrien, la Palestine est une partie intégrante de la Syrie. C'est pourquoi nous, les autorités syriennes, qui sont les véritables représentants du peuple palestinien ".

Mais avec les nouvelles d'une solution à deux Etats, nous devons nous demander comment ont longtemps été les envahisseurs dans le pays?


Selon les normes étranges des Nations Unies, toute personne qui a passé deux ans en Palestine avant 1948, avec ou sans preuve, est une «palestinienne», ainsi que tous les descendants de cette personne.


Avant cela, la Terre Promise était tout à fait désolée.


-Mark Twain, "Les Innocents Abroad", 1867-

Il n'y a pas un village isolé dans toute son étendue [vallée de Jezréel] - pas pendant 30 miles dans les deux sens ... On peut monter 10 miles par ici et ne pas voir dix êtres humains. ... Pour le genre de solitude pour faire un morne, venu en Galilée ... Nazareth est désespéré ... Jéricho est une ruine de moisi ... Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et l'humiliation ... inoccupée par toute créature vivante ... Un pays dévasté dont le sol est assez riche, mais est affectée en totalité à des mauvaises herbes ..., une étendue morne silence ... un désert ... Nous n'avons jamais vu un être humain sur l'ensemble du parcours ... à peine un arbre ou un arbuste partout. Même l'olivier et le cactus, les amis rapides d'un sol sans valeur avaient presque déserté le pays ...


-Gunner Edward Webbe, Palestine Exploration Fund-

"Rien ne doit y avoir scène mais un peu des vieux murs, qui est encore restants et tout le reste est de l'herbe, la mousse et les mauvaises herbes un peu comme un morceau de rang ou un sol humide."


-count Constantin François Volney, XVIII siècle, auteur français et historian-

«La Palestine est une terre en ruine et désolée."


-Le Rapport de la Commission royale britannique, 1913

«La zone était sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu'à l'arrivée des premiers pionniers sionistes dans les années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. Le pays était resté "La Terre Sainte" dans la conscience religieuse et historique de l'humanité, dont il associé à la Bible et l'histoire du peuple juif. Développement juive du pays a également attiré un grand nombre d'autres immigrants - juifs et arabes. La route menant de Gaza vers le nord n'est qu'une piste d'été adapté pour le transport par les chameaux et les charrettes ... Les maisons étaient toutes de boue. Pas de fenêtres ont été n'importe où pour être vu ... Les charrues étaient en bois ... Les rendements étaient très pauvres ... n'existaient pas les écoles ... Le taux de mortalité infantile était très élevée ... La partie ouest, vers la mer, a été presque un désert ... Beaucoup de ruines ont été dispersés dans la région, en raison de la prévalence du paludisme, de nombreux villages ont été désertés par leurs habitants ".


Le plus grand mensonge qui est constamment mis au devant, c'est que le «réfugiés palestiniens» aurait été "expulsé" par les Israéliens.


En fait, en 1948, les soi-disant réfugiés ont été encouragés à quitter Israël par les dirigeants arabes, qui ont promis de purger la terre des Juifs. Près de 70 pour cent d'entre eux est parti sans avoir jamais vu un seul soldat israélien.


Alors qu'est-ce que tout cela signifie?


Le «État» palestinien est une construction sociale récente créée par les peuples arabes (éventuellement Frères arabe) comme un système militaire / politique dans le but de détourner l'attention des graves problèmes sociaux qui affligent leur pays mal gérés ou à mettre en place dans le monde pour un conflit comme le genre jamais vu avant.


Peut-être que vous ne saviez pas, maintenant vous savez.


Origin of a People, Who are the Palestinians?



TV finlandaise: tirs depuis l'hôpital Shifa à Gaza

Confirmation par une journaliste étrangère de l'utilisation de l'hôpital par le Hamas pour tirer des missiles

Une correspondante du journal finlandais Helsingin Sanomat a diffusé vendredi soir un reportage tourné à l’hôpital Shifa de Gaza dans lequel elle confirme que des roquettes ont bien été tirées depuis le centre médical. "C’est la vérité, des missiles ont été tirés depuis l’hôpital sur Israël, nous avons entendu un bruit très fort", a-t-elle affirmé. Il s’agit de la première correspondante internationale à Gaza qui fait état de tirs effectués depuis le centre hospitalier.

Selon les informations du reportage, la journaliste aurait vu des terroristes du Hamas tirer des roquettes depuis la cour de l’hôpital en direction d’Israël. Les tirs auraient eu lieu vers 2h00 du matin.

Quelques journalistes étrangers présents à Gaza ont tenté depuis le début des hostilités entre Israël et le Hamas de s’approcher de l’hôpital afin de vérifier les informations selon lesquelles l’organisation utiliserait ce lieu comme base dédiée aux tirs de missiles contre le territoire israélien.

Cependant, plusieurs médias internationaux ont indiqué que leurs journalistes avaient été menacés, notamment sur les réseaux sociaux, après avoir affirmé que des roquettes avaient été tirées depuis des zones d’habitations civiles dans la bande de Gaza.

C'est le cas notamment du chef du Bureau du Financial Times de Jérusalem, John Reed, qui avait confirmé sur Twitter que "deux roquettes avaient été tirées sur Israël a proximité de l’hôpital al-Shifa".

En réponse, @Saritah-91 avait écrit : "Nous vous tiendrons pour responsable si Israël utilise votre tweet pour bombarder l’hôpital et pour justifier sa frappe"

De son côté, le correspondant au Moyen-Orient du Wall Street Journal Nick Casey avait également publié sur son compte Twitter une photo d’un porte-parole du Hamas interviewé depuis l’hôpital Shifa à Gaza : "Imaginez ce que les patients de Shifa ressentent alors que le Hamas utilise cet endroit comme un abri sécurisé pour ses interviews"

Bien que le tweet ait rapidement été supprimé, des activistes pro-palestiniens avaient réagi sur Twitter, menaçant le journaliste de l'intégrer à la "liste des reporters qui fabriquent de l’information au profit d’Israël". Le bureau pro-palestinien avait estimé que M. Casey devrait "être jugé pour ce crime".

Depuis le début de l’opération Bordure protectrice, la Finlande semble se démarquer du reste des pays européens. Alors que les rassemblements propalestiniens se sont multipliés notamment en France, en Belgique et au Royaume-Uni, la Finlande a été l’un des premiers pays de l’Union a accueillir une manifestation pro-israélienne la semaine dernière, au cours de laquelle des pancartes dénonçant le terrorisme et réaffirmant le droit d’Israël à se défendre ont été brandies.





 



Prise d’otages en Israël: la seule façon de traiter avec le Fatah ou le Hamas consiste à les détruire

Guy Millière

 

Il y a deux semaines, un gouvernement d’unité « palestinien » a été mis en place réunissant le Fatah et le Hamas. Le gouvernement israélien s’est, à très juste titre alarmé, et Binyamin Netanyahou a souligné que c’était un très mauvais signe, à même de conduire à une recrudescence d’actes terroristes. L’Union Européenne et l’administration Obama ont, au contraire, voulu voir là un excellent signe et (non, l’Union Européenne et l’administration Obama ne plaisantent pas) une promesse féconde pour la paix et la non violence, réservant leurs critiques à Israël, accusé de se mal conduire en décidant (ô horreur!), de construire des logements pour des Juifs israéliens.

Il a fallu peu de temps pour que les prédictions de Binyamin Netanyahou se vérifient. Des tirs de roquettes ont eu lieu depuis Gaza, signe de joie chez les gens du Hamas, tirs suivis de ripostes israéliennes, aussitôt considérés comme « disproportionnées » en Europe, où les ripostes israéliennes sont toujours considérées comme disproportionnées et où on n’aime les Juifs que lorsqu’ils sont morts ou, à la rigueur, passifs et silencieux. Beaucoup plus grave, trois jeunes hommes ont été enlevés près d’une yeshiva, selon toute vraisemblance, par des gens du Hamas encore. Deux d’entre eux sont Israéliens, le troisième est Américain. Aucun des trois ne vit de façon permanente en Judée Samarie, mais le fait qu’ils aient été tous les trois en Judée au moment de leur enlèvement a été suffisant pour que la presse de plusieurs pays européens les qualifie de « colons », autrement dit, de gens colonisant des terres qui ne sont pas les leurs. Inutile de souligner que la presse en question a, ainsi, quasiment légitimé leur enlèvement. Inutile de souligner qu’elle n’a en rien condamné les preneurs d’otage et que si ceux-ci se conduisaient de manière plus barbare, elle les approuverait tacitement. Inutile de dire qu’aucun dirigeant européen et aucun membre de l’administration Obama n’a, même, évoqué l’enlèvement.

S’il fallait une démonstration que médias et dirigeants européens et membres de l’administration Obama ont choisi leur camp, qui n’est pas du tout celui d’Israël, tous les éléments de la démonstration seraient là. Un groupe terroriste islamique aux buts explicitement génocidaires se trouve officialisé et reconnu, et même présenté comme à même de contribuer à la paix et à la non violence. La construction de logements pour des Juifs en des endroits où il n’y avait rien (et où donc cette construction ne lèse personne) se trouve présentée, elle, comme nuisible à la paix et à la non violence. L’enlèvement de jeunes Juifs en Judée se trouve légitimé ou, pour le moins, entériné. Des assassins potentiels se trouvent excusés. La Judée se trouve de facto présentée comme un territoire qui devrait être judenrein, et considéré comme le territoire d’un peuple inventé il y a quarante ans à des fins antisémites, le « peuple palestinien », et comme partie intégrante d’un pays qui n’a jamais existé, la « Palestine ».Onpeut souhaiter, et je souhaite, que les jeunes hommes enlevés soient retrouvés et libérés sains et saufs. On peut souhaiter, et je souhaite, que leurs ravisseurs soient au plus tôt mis hors d’état de nuire. On doit souhaiter, et je souhaite, que le gouvernement israélien stipule qu’il ne procèdera plus jamais à l’avenir à un échange d’otages contre des prisonniers « palestiniens » ou à la moindre libération d’assassins : échanges et libérations constituent de véritables incitations à la prise d’otages.

On peut espérer que le gouvernement israélien sait désormais, s’il ne le savait déjà, à quoi s’en tenir concernant médias et dirigeants européens et membres de l’administration Obama, et sait donc qu’il a affaire là à des ennemis, plus sournois que le Fatah et le Hamas, mais à des ennemis néanmoins. On peut espérer que le gouvernement israélien comprend mieux que jamais que le terrorisme ne doit pas payer. Ce qui signifie qu’il n’y a rien à attendre du Fatah ou du Hamas, et que la seule façon de traiter avec le Fatah ou le Hamas consiste à les détruire.

Faut-il l’ajouter? Sur le site du très « modéré » Fatah, les trois otages sont représentés comme des rats marqués d’une étoile de David, et pris dans une nasse: que de modération en une telle représentation, non? Chez les gens du Hamas, on fait ouvertement la fête en raison de la prise d’otages. Chez ces gens, on célèbre les assassinats de Juifs en distribuant des confiseries.

Allez! Jetez moi tout ça, et qu’on n’en parle plus. La place des criminels est six pieds sous terre.

© Guy Millière pour Dreuz.info.

 

 

 

                    URGENT

L’université Paris VIII de Saint Denis semble noyauté par les propagandistes pro-palestiniens ! Deux conférences sont organisées sur le prétendu « apartheid israélien » qui n’existe que dans l’esprit pervers des islamistes qui souhaitent détruire Israël !

Europe Israël lance une action pour que tous nous exprimions auprès de la direction de cette université partisane notre colère ! Nous appelons à une mobilisation de tous pour empêcher par tous les moyens que ces conférences du mensonge et de la désinformation aient lieu ! 

Europe Israël demande au Ministère de l’éducation nationale d’interdire les conférences de propagande islamo-palestinienne dans les universités françaises !

Israël-flash soutient cette action, et par cette lettre ouverte à la présidente de cette université, demande des réponses sur cette propagande mensongère véhiculée au sein de son établissement.

Transmettez le lien de cette lettre le plus massivement possible et notamment à cette adresse presidence@univ-paris8.fr

antisemitisme.net/soutient aussi cette action, et demande instamment à tous ses lecteurs de bien vouloir faire parvenir au plus tôt la lettre ci-dessous, rédigée par Europe Israël. D'autant plus que nous recevons il y a quelques minutes un article intitulé "

Les réfugiés syriens demandent au Mouvement de boycott contre Israel de se la fermer ! "Alyaexpress"

presidence@univ-paris8.fr

                                             À l’attention de Madame Tartakowski

                                             Présidente de l’université Paris VIII

                                              Saint-Denis

Objet : campagne contre « l’apartheid » israélien

 

Madame le Président,

Votre université est le cadre d’une campagne vicieuse, destinée à délégitimer Israël et à nier les droits nationaux du peuple juif ; un peuple qui s’est constitué il y a plus de trois millénaires sur le territoire où certains de vos étudiants, qui manifestement n’ont pas lu Jean Racine, en particulier sa pièce, « « Esther », l’accusent de mettre en pratique  un apartheid contre les non-Juifs.

Contre toute vérité historique et factuelle, – en particulier pour ce qui concerne les deux siècles passés-, ils battent la campagne et les couloirs et « amphis » de l’établissement universitaire dont vous avez la charge, affirmant que le peuple juif : est un étranger, un colonisateur colonialiste sur sa propre terre, sur un espace à peine plus grand que l’ensemble des départements bretons, petit territoire qu’il a sorti de la friche, de la pierraille et des miasmes qui avaient succédé à la culture systématique et florissante lorsqu’il était la Judée.

Cette campagne hystérique invoque, pour se déployer, un « apartheid israélien » : une variété « d’eau sèche », en quelque sorte.

Israël, Apartheid contre une population non-juive ?

Apartheid, infériorité institutionnelle des « arabes », un pays où la minorité arabe dispose de tous les droits politiques et possède de combattifs députés élus au suffrage universel ?

Apartheid, la situation d’une population qui envoie au parlement unique du pays, des hommes et des femmes élus par des hommes et des femmes appartenant à un seul collège électoral d’électeurs israéliens. Ce collège électoral unique est formé : de Juifs (les uns, juifs de religion, et les autres athées ou agnostiques, d’autres encore ayant opté pour une autre confession), d’Arabes (musulmans ou chrétiens, voire non-religieux), de Druzes, de Circassiens, d’Arméniens ; on  trouve aussi des Ba’haï. En effet, ces derniers, persécutés, traqués, persécutés, parfois envoyés à la potence par l’arbitraire totalitaire de l’islam chiite khomeyniste, ont choisi Israël et la ville de Haïfa pour installer en toute liberté leur centre international.

Tous les électeurs israéliens, quelle que soit leur origine ethnique ou leur croyance religieuse, ou leur absence de croyance religieuse, votent dans un seul et unique collège. C’est un « apartheid », pire que l’original ? Vous croyez cela, Madame le Président ? Soyons sérieux !

Les Arabes citoyens israélien (20% des habitants du pays) votent librement, et pour qui ils veulent. Apartheid ?

Ils subissent un apartheid, racontent et vocifèrent certains de vos étudiants.

« Apartheidisée», cette partie de la population israélienne a eu deux des siens, comme vice-président de la Knesset (le parlement unique et souverain d’Israël). Et ces deux vice-présidents appartenaient à des partis politiques « arabes », des partis légaux mais totalement hostiles à l’existence d’Israël ; l’anéantissement de cet Etat étant à la base de leur programme électoral.

On le voit, ce que certains de vos étudiants appellent « l’apartheid israélien » est réellement entièrement à part et n’a pas grand-chose à voir avec le régime sud-africain dont on utilise l’étiquette infamante pour tromper tous vos étudiants et diffamer l’Etat-nation du peuple juif.

Cet « apartheid », si particulier, supportera d’avoir pour vice-président du parlement souverain, un arabe israélien membre connu du MII. Ce Mouvement Islamique Israélien est lié aux « frères musulmans », comme le Hamas. Les « frères musulmans », vous le savez, c’est cette organisation internationale dont le peuple égyptien s’est débarrassé, en descendant en masse, en juin et juillet 2013, à trente millions, dans les rues  du Caire et d’autres grandes villes d’Egypte. C’est ce parti dont les Tunisiens essaient de se débarrasser, eux-aussi, depuis presque un an.

Le MII a pour seul programme : la destruction de « l’entité sioniste » et l’expulsion des Juifs. Ce programme, c’étaient les deux mots d’ordre lancés en novembre 1947 par les Frères musulmans appelant à la « guerre sainte ». Pourtant ce parti, le MII, est légal en Israël. Par deux fois, il s’est retrouvé à la vice-présidence de la Knesset.

Curieux « apartheid », qui n’a pas grand-chose à voir avec le régime sud-africain ?

Souvenons-nous, puisque nous sommes dans un lieu de culture : du mouvement de la conscience noire (qui donnera le parti AZAPO), puis de l’ANC, qui revendiqueront, contre l’apartheid, le vrai : un seul et unique parlement, un vote universel unique, quelle que soit la couleur de peau de l’électeur.

Le mouvement de Steve Bicko (mort assassiné), l’AZAPO, puis l’ANC, revendiqueront un régime électoral qui existe en Israël. Ils revendiqueront, contre l’apartheid : « un homme (ou une femme) égale une voix », pour envoyer des élus à un parlement unique. Sous l’apartheid, il y avait trois parlements (ce que semblent ignorer vos étudiants, dénonçant « l’apartheid israélien ». S’ils ne l’ignorent pas, ils se positionnent comme des apprentis manipulateurs de mots, aux fins d’abuser de la bonne foi des gens, les autres étudiants). Il y avait : le parlement des blancs, qui votait les lois, et les deux autres « parlements » qui ne votaient rien (celui des métis et celui de la majorité noire et de la minorité autochtone Hottentote/bushmen toujours opprimée).

Les diffamateurs d’Israël l’ignoreraient-ils ?

Vous, Madame le Président, l’ignoreriez-vous, vous qui semblez vouloir laisser se déployer cette campagne haineuse, dans les locaux de l’université française où vous êtes en responsabilité?

Nous pourrions multiplier les exemples, démentant la réalité des accusations distillées par certains de vos étudiants, disposant présentement des locaux universitaires comme d’un outil.

On pourrait ainsi rappeler ceci : ces ambassadeurs israéliens, arabes ou druzes, ces ministres ou secrétaire d’Etat, ou ces officiers supérieurs (y compris des généraux) de la méchante Tsahal, arabes, druzes ou circassiens…. En Israël, ils sont citoyens, rien de moins. Apartheid ?

Dans cet « apartheid », qui est tout le contraire du système sud-africain, la partie arabe de la classe ouvrière dispose des mêmes droits que la partie juive de la classe ouvrière. Il en est de même pour les lois sociales : elles s’appliquent à tous.

Autre aspect de la question soulevée par ces étudiants, le problème de la langue : depuis que l’Etat-nation du peuple juif a été restauré, en 1948, en tant qu’Etat indépendant politiquement, la langue arabe est langue nationale, aux côtés de l’hébreu. Apartheid ?

Madame le Président, Cherchez les pays « arabes » où la langue arabe accepte d’être langue nationale, aux côtés des langues des peuples conquis pour être soumis aux sabres de la charia ?

Question à vos élèves et à vous-mêmes : la langue kurde est-elle l’égale de l’arabe ou du turc, en Syrie, en Irak, en Iran et en Turquie ?

Dans deux de ces pays, Syrie et Irak, la disparition ou l’affaissement du baathisme permet à la langue kurde de devenir langue politique, langue officielle – après plusieurs siècles d’effacement- dans les zones kurdes devenues pratiquement indépendantes.

Question : qu’en est-il de l’araméen, cette langue âgée de trois millénaires, ancienne lingua-franca, et encore langue vernaculaire des irakiens, syriens et turcs Assyro-chaldéens ?

Et la langue dialectale de la minorité Yezidi, ces hérétiques de l’islam, régulièrement victimes de furieux et sanglants pogroms, en Irak post-baathisme ? Quelle est sa situation légale ?

Ne croyez-vous pas que vos étudiants devraient éviter de parler de cordes dans la maison de pendus, en accusant injustement Israël des turpitudes des gouvernements algériens, syriens, irakiens, turques et iraniens ?

Question, encore à vous-même et aussi aux étudiants détestant Israël accusé de crimes qu’il n’a pas commis : En Algérie, en Tunisie, quel est le statut des langues berbères, celui de l’amazigh, du chleuh, du Zénète, du kabyle, de la langue du Targui ?

C’est le changement constitutionnel, décidé par le nouveau roi du Maroc, donnant un statut légal à la langue des Berbères du Maroc, qui a amené les autorités algériennes à laisser un peu d’espace légal au kabyle et aux autres dialectes de la langue berbère.

L’oppression linguistique n’est-elle pas un des signes les plus lourds de l’infériorité légale d’une population ? Pourtant, cela n’effleure pas la réflexion de nos anti-« apartheid israélien »…

En Israël, à l’inverse, pas d’infériorité politique et légale de la langue arabe (en l’occurrence, non un arabe « palestinien », mais un arabe syrien et/ou égyptien, et des dialectes bédouins arabisés). Où est-il, l’apartheid, Madame le Président ? où est-il en vérité ? Là où vos étudiants le dénoncent, où là où ils refusent de le voir ?

Madame Tartakowski, j’aurai plaisir à apprendre, venant de vous, une savante par définition, des choses que j’ignorerai, mêmes si elles contredisaient mes opinions et ce que je crois être vrai.

J’attends donc avec impatience, votre réponse, en même temps que votre décision de ne pas laisser les couloirs et les amphithéâtres, de l’université que vous présidez, devenir un champ clos et un « haut lieu » de la chasse au « sioniste », ainsi qu’un amplificateur de la haine et  de la diffamation de trois millénaires d’Histoire juive en Terre d’Israël.

 

Bien cordialement

 

 

 

C'est le sang d'une vache et pas celui de son petit frère...


Hier, le Palestinien Nour Abed postait cette image sanguinolente accompagnée d'un commentaire"Un enfant palestinien lave le sang de son frère!"

L'image avait déjà été publiée en juin 2011 sur un blog anti-Israélien avec la légende "Un enfant palestinien lave le sang de son frère tué par une bombe des forces d'occupation israéliennes.”

Il s'agit bien entendu d'un mensonge pour inciter à la haine d'Israël.  Grâce àA Soldier’s Mother, on voit que l'image provient de ce site et montre un "gosse palestinien nettoie le sol après l'abattage d'un vache dans l'abattoir de ses parents à Ramallah, Palestine."

 

Pallywood: le Hamas recycle une photo du conflit syrien...


Si  vous voyez cette photo d'un enfant mort (le monde arabe adore montrer ce genre de photos, surtout si l'on peut l'attribuer aux actions de 'l'entité sioniste'), sachez qu'il s'agit d'une photo du conflit syrien et qu'elle n'a rien à voir avec les opérations militaires à Gaza.  Les terroristes des brigades d'Al Aqsa la revendiquent sur Twitter..

Au fait, savez-vous combien d'enfants y a-t-il parmi les 30 ou 40.000 morts syriens? Non. Bien sûr que non. Ce n'est ni la presse française ni la belge qui vont s'intéresser à ça.

Philosémitisme

 


 

La désinformation criminelle n’a plus de limite.

 Sasson Adato


Il est une constante, il n’y a pas de respect de la vie, même les petits enfants qui ont perdus la vie, servent à cet ignoble campagne de désinformation du hamas.

Évidemment il se trouve toujours des états voyous avide de propagande anti israélienne, qui s’empressent, faisant fi de toute morale, de diffuser ces fausses information.

En effet vendredi matin Israël a accepté une trêve de trois heures pour ne pas mettre en danger la délégation Égyptienne. Elle a méticuleusement respecté cet arrêt ce qui n’a pas été le cas des criminels du hamas qui ont tiré plusieurs roquettes. Ceux-ci pensaient qu’Israël allait riposter ce qui aurait mis Israël dans une posture inconfortable.

Il s’est trouvé plusieurs journaliste pour affirmer qu’Israël avait respecté sa part d’engagement, entre le Sunday Telegraph .

la duplicité du hamas n’ayant plus de limite ont installé des bases de lancement à l’intérieur des maison, et c’est là qu’un drame éclate. Des criminel tirent un missile de l’intérieur de la maison mais celui-ci non seulement ne part pas mais  explose tuant sur le coup un petit enfant de quatre ans Mohammed Sadallah.

Tout de suite l’affaire est monté en épingle toute la presse est là vociférant contre Israël, qui bien sur n’y est pour rien, et tous le monde le sait.

Mais cela ne suffit pas il faut que l’ignoble hamas tire partie de ce drame l’on fait venir  Hisham Kandil, le premier ministre égyptien, qui en profite pour déclarer sa sympathie aux peuple palestinien et prenant l’enfant ensanglanté dans ses bras il déclare haut et fort “ c'est quelque chose que nous ne pouvons pas garder le silence " at-il déclaré, avant de promettre de défendre le peuple palestinien.

Quelque moments plus tard la maison était débarrassée de toute preuve de la supercherie, nettoyée et finalement des experts du Centre palestinien pour les droits de l'homme qui ont visité le site le samedi ont dit qu'ils croyaient que l'explosion a été causée par une roquette palestinienne.


S’il fallait tirer une leçon de ce drame c’est que nous voyons qui protège ses enfants et qui les met en danger de mort.

 


Bienvenue en pallywood 


Un très grave problème se pose aux criminels de gaza. En effet, les israéliens ont l’outrecuidance de cibler les objectifs et donc de pratiquer des frappes dites chirurgicales.

Le problème est que dans ces conditions, il n’y a peu ou pas de morts, alors comment ameuter le monde afin de faire porter la responsabilité à israël; comment produire des photos où l’émoglobine coule à flot.

Pour palier à cette déconvenue la solution est simple :

Prenez un quelconque criminel palestinien, dans la rue,  prenez le par les bras et les jambes, évidemment il est mort, courrez avec, hors du champ des caméras.

Ensuite tourner la tête et la caméra pour que le pseudo mort puisse se relevé afin qu’il aille vaquer à ses occupations de barbare criminel.

Cela produit une vidéo qui pourrait toucher une âme sensible, si une caméra n’était restée en marche, le résultat est ci-dessous ou l’on voit ’ le mort ‘ en veste beige et t-shirt noir miraculeusement ressuscité 2 minutes 44 après. 


pallywood a tenté de frapper ! cliquez ici


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