Et Israël fut libéré

 

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Un peu d'histoire


 

 

CONTRIBUTION DU PEUPLE HEBREUX À LA CIVILISATION



Les hébreux entrent en Israël, Il y a à peut près 3700 ans, en se donnant et en donnant au monde ce que l'on appelle à tord les Dix commandements. Le terme grec de Décalogue rend mieux compte de la désignation hébraïque de ASSERET HADIBEROT, Les dix paroles. Quoique, en effet, la forme de ces Paroles soit impérative et que,  par conséquent, elles représentent des commandements, ce n'est pas dans son caractère législatif que le Décalogue trouve sa signification dernière. Sans doute la législation du Décalogue est-elle tout-à-fait remarquable et le choix de certaines prescriptions fondamentales, au contenu très universel, est admirable à tous les points de vue.


Ce qui singularise le Décalogue, c'est que, seul parmi tous les autres textes de la Thora, il est l'écho d'une révélation faite directement et sans intermédiaire par D... à des hommes. Le Décalogue est ainsi le témoignage, la preuve et la garantie de la prophétie.


Le Décalogue est donc plus qu'un magnifique résumé de morale religieuse. Il est le lien le plus étroit entre D... et l'histoire humaine. Et c'est ce caractère que le peuple biblique reconnaîtra sans cesse au Décalogue, Dans toute la suite de son histoire.


Tu n'auras pas d'autre D... que moi


tu ne te feras aucune image&n bsp;sculptés.


Tu ne prononceras pas vainement le non de ton D...


Souviens-toi du jour du chabbat pour le sanctifier


Honore ton père et ta mère


Tu ne tueras point


Tu ne commettras pas l'adultère


Tu ne voleras pas


Tu ne porteras pas de témoignage mensongeur contre ton prochain


Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain


Aucun document religieux n'a exercé sur la vie morale et sociale de l'homme une plus grande influence que la proclamation Divine du devoir humain que l'on appelle le Décalogue.

Ces dix brefs commandements compte en tout 120 mots, couvrent toute la sphère de la conduite , non seulement celle des actions apparente, mais aussi des pensées secrètes du coeur.

Dans une forme qui se veut simple, inoubliables, cet unique code des codes pose les règles fondamentales du culte et du droit pour tous les temps et tous les hommes.

C'est avec cette éthique que moïse conduit son peule à travers le désert et ce sera Josué qui entrera en terre d'Israël.

Le pays de Canaan était situé entre les deux empires d'Egypte et de Mésopotamie, on s'en servait comme une espèce de pont entre les deux pays. Dans ce pays peu hospitalier, les hébreux se faisaient des amis autan que possible. Certains parmi les habitants de Canaan se rangèrent du côté des hébreux, car ceux-ci les aidaient à chasser les Egyptiens et les Chaldéens. I acceptèrent de vendre leurs terres aux nouveaux venus, et ils les laissèrent s'installer.

Un ou deux siècles plus tard sous Josué et d'autres chefs de tribut, le pays de Canaan devint le pays d'Israël.

Après le règne d'Ikhnaton et de Tutankhamon l'Egypte essaya de reprendre le contrôle d'Israël mais elle n'y réussie jamais, ce qui permis à Josué et à ses successeurs de pouvoir s'installer après avoir traversé le Jourdin.

«  Je ne t'abandonnerait point  dit D... à Josué ni te délaisserai- soit fort et résolu, car c'est toi qui va mettre ce peuple en possession du pays que j'ai juré à ses pères de lui donner « .

 

 

 

hebreux palestine israel,ÉGLISE,

Suite 1

Après être descendus jusqu’à Eçyon-Guever et être revenus au nord, dans la région de Quadech, ils se dirigent à nouveau vers le Sud, contournent les monts d’Edom et laissant la mer Salée (mer morte) à gauche, ils pénétrent en Canaan légèrement au bord de la mer morte. La première étape cananéenne sera Guilgal, à côté de Jericho.

Cette route qui n’est ni la route côtière, ni le chemin normal des caravanes, prolonge le séjour dans le désert bien au-delà de la durée prévisible au départ.

De même que la sortie d’Egypte représente une libération d’un style tout à fait insolite, de même l’itinéraire suivi par ce peuple dans sa migration, et la durée du voyage, donnent à l’expédition un caractére tout à fait singulier; il s’agit non pas d’une migration normale, mais d’une pérégrination religieuse, purement religieuse.

D’avoir mis quarante ans à parcourir les quelque 700 kilomètres qui séparent ( par la route la plus longue ) Ramses de Jéricho, ne devait guére susciter dans l’âme hébraïque à l’arrivée en Canaan une orgueilleuse fierté de conquérant.




Les quarante ans d’errance dans le désert feront comprendre aux Hébreux que, tirés d’Egypte par la main de D..., c’est encore par la main de D... qu’ils prendront possession de Canaan. 

Les conditions dans lesquelles s’annonce la campagne sont aussi favorables que possible. Les Hébreux forment un bloc cohérent et uni. Les motifs de division qui avaient si souvent rendu la tâche de Moïse difficile n’existent plus. Josué, le chef, est obéi sans discussion par un peuple animé tout entier d’une volonté commune.

La différence entre la mentalité du désert et celle de l’entrée en Canaan se manifeste par deux épisodes. Celui des explorateurs d’abord ; au découragement qui suit au désert le récit des explorateurs, s’oppose l’optimisme consécutif à leur rapport ; le lendemain même de leur retour, à l’aube le peuple entier se met en route pour franchir le Jourdain et affronter Canaan.

Face à cette unité des enfants d’Israël, le morcellement de Canaan représente un chance exceptionnelle.

La division de Canaan, qui préexistait à l’arrivée des Hébreux, est augmentée par leur venue ; certains individus, certaines peuplades, se désolidarisent des autres Cananéens, recherchent l’alliance des Hébreux. C’est le cas de Rahab, c’est le cas aussi des Guibéonites.

C’est dans ces conditions que s’opére la conquête militaire du pays, qui durera sept ans.


 

Le prétexte de la première coalition est fourni par la défection des Guibéonites. Ceux-ci réinstallés dans leur canton de Guibéon, sont l’objet d’une expédition punitive organisée par les princes voisins qui voient en eux des traitres.
C’est Adoni-Cedeq, roi de Jérusalem, qui a pris l’initiative de l’attaque : il obtient le concours des rois de Hébron, de Yarmouth, de Lakish et d’Eglon. Les cinq coalisés marchent sur Guibéon et y mettent le siège.
Les Guibonnites lancent un appel aux Hébreux: Josué fidèle à l’alliance contractée, vient à leur aide et attaque les assiégeants. Les cinq rois alliés subissent une terrible défaite aux portes de Guibéon. 
Josué non content d’avoir débloqué Guibéon et anéanti la coalition, poursuit l’ennemi dans toutes les directions où il s’enfuit: au nord, vers Bethron ; à l’ouest vers Makéda ; au sud vers Azéka.
Avant de revenir à Guilgal, son port d’attache, Josué profite des positions avantageuses qu’il vient de conquérir pour s’assurer la domination du Néguev et de la Shéféla. Sans difficulté notable, la Thora résume cette troisième campagne en trois versets, il occupe le sud, depuis Quadèsh-Barnéa, à l’orée du désert sinaïtique, jusqu'a Gaza. 
Maître de tout le sud et du centre de Canaan, Josué rentre avec ses troupes à Guilgal.
La ville de Jéricho, appelée encore Ville des Palmiers, à cause des multiples palmiers qui l’ornaient, était considérée comme imprenable. Ses murailles étaient épaisses de plusieurs mètres et des soldats nombreux les  défendaient. Les Israélites mirent le siége devant la ville ; mais Josué, sur l’ordre de D... , utilisa une tactique curieuse pour s’emparer de Jéricho. Les troupes d’Israël, précédées par l’Arche Sainte que portaient les Cohanims, firent le tour de la ville. Josué fit sonner du chofar et ramena les Israélites au camp. Les habitants de Jéricho, surpris, se demandaient ce que signifiait ce manège. Lorsque, six jours de suite, la même scène se renouvela, ils se moquèrent des Israélites qui, pensaient-ils, croyaient s’emparer de la ville par des promenades.
Le septième jour, Josué ordonna à ses hommes de faire sept fois le tour de la ville en silence. Ainsi firent-ils, puis, à son commandement, ils poussèrent de grandes clameurs et sonnèrent du chofar. A la grande stupéfaction des Israélites, une partie de la muraille s’effondra. Les soldats de Josué se précipitèrent à travers la brèche et s’emparèrent de la ville.
Le professeur Garstang a provisoirement fixé entre 2500 et 2100 av  l’ère vulgaire la date de la première occupation. L’unique muraille de cette cité était faite de larges tables d’argile, liées ensemble par des couches de terre bitumineuse à la façon babylonienne. 
La ville qui suivit appartenait à l’Age de bronze moyen. Ses murs avaient une épaisseur de plus de trois mètres et étaient construits avec de grandes briques grises. Ils avaient été élevés sur trois de ses côtés de la ville. Le côté oriental, près du fleuve était flanqué d’une tour dont quelques parties demeurent encore et qui atteignait la hauteur de vingt métres.

A la semaine prochaine 

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